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| A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. | |
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| Sujet: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Ven 28 Jan - 1:01 | |
| Un autre monde. Voila ce qui définissait parfaitement l'endroit où avait atterri Henri. Si ça c'était Londres, et tout ce qu'il avait connu, il voulait bien être damné un million de fois au moins, et même plus si cela ne suffisait pas ! D'ailleurs, damné, il l'était déjà. Cela faisait bien longtemps qu'il avait compris que jamais il ne mourrai. Qu'il était ce que les anciens avaient appelé un Vampire. Une créature ignoble, de la nuit, qui dévorait son prochain. Mais Henri n'était-il pas un ignoble personnage ? Même avant d'être un vampire ? Il avait versé le sang et les larmes de tant de femmes sur le pavé froid de son château. Sans vraiment éprouver de remord. Une simple étrange satisfaction. Sauf pour...Elle. Elle c'était Anne. C'est qui l'avait séduit, aimé, comblé, énervé, mis hors de lui, donné une fille, rendu fou. Qui l'avait damné. Qu'il avait tenté de tuer. Et son coeur qui ne battait plus était encore profondément éperdu d'elle. Il ne se l'avouerai jamais.
Pour l'instant, il était perdu. Il n'avait strictement aucun repère. Ses vêtements étaient en haillons, depuis le temps. Et tous ces pics s'élevant du ciel, cette absence d'herbe, et de matériaux connus...C'était à vous rendre fous. Mais il l'était déjà. Alors il se contentait d'être particulièrement désagréable avec chaque personne rencontrée, et impulsif devant les obstacles de la vie Londonniene du XXIeme siècle qu'il n'avait pour l'instant que très peu rencontrés.
Il avait passé le jour dernière dans une écurie, près d'une jument pleine, qui avait accepté sa présence sans broncher. Comme si elle avait senti qu'il pouvait la réduire en charpie dès lors qu'il l'aurait décidé. Evidemment, comme elle ne le dérangea pas, il n'en fit rien. La nuit vint, et il décida ainsi de se rendre là où se trouvait son trône à afin de tuer tous ceux qui occuperaient son chateau d'Hampton Court et reprendre la place de Roi qui lui était due. Pas un instant il n'aurait pu imaginer une monarchie constitutionelle, une Reine qui ne descendait même pas de lui et n'avait aucun pouvoir. Il était persuadé qu'un survivant de sa famille éloignée avait repris le pouvoir, et que même 500 ans plus tard, il avait un descendant régnant sur l'Angleterre. Evidemment, le monde actuel est dur à idéaliser pour un Roi ayant vécu au début de la Renaissance. C'est pourquoi il n'attendait pas la moitié de ce qui allait lui arriver.
Il enfourcha un étalon bai qui se trouvait dans l'écurie et le talonna de toutes ses forces. Celui-ci fonça, effrayé par les ordres précifs et extrêmement vifs du cavalier qu'il soutenait ce soir là. C'est ainsi qu'au bout d'une bonne heure, Henri chevauchait au grand galop à la périphérie d'une grande autoroute, à travers une étendue d'herbe appartenant à une usine de fabrication de caoutchouc. Les conducteurs à cette heure tardive manquaient de perdre le fil de leur conduite en voyant cet énergumène à l'air belliqueux et férocement déterminé galoper près d'eux, heureusement séparé par une barrière.
Henri avait d'abord été effrayé par ces caisses aux etrémités lumineuses et aux roues énormes et si rapides, mais avait décidé de ne pas en prendre compte afin d'arriver le plus vite possible à Hampton Court. Il fixait la route et imposait un rythme toujours plus soutenu au pauvre cheval qui n'avait jamais galoppé autant de toute sa vie de pur sang anglais habitué à des tours de champ de course brefs mais intenses. Henri lui demandait un effort considérable sur la longueur.
Persuadé que, comme tout cheval se doit de savoir le faire, sa monture saurait sauter, il la dirigea vers une barrière qui empêchait son passage. Le cheval, paniqué, comprenant ce qu'on lui demandait et qu'il n'avait jamais fait, étant cheval de course, se déroba, glissa sur l'herbe humide, roulant sur le flanc, se brisant quelques côtes et une jambe. Henri, lui se retrouva projeté par dessus la barrière. Juste sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Ven 28 Jan - 20:43 | |
| Quartier de East End — 23:30 ~ Amadeo Hawkins — « Crois-tu qu'il est raisonnable de la laisser là ? »
Me lança-t-il alors que je venait d'achever une câtin après m'être bien nourrie. je me tourne vers lui et soupire je l'apprécie mais bon j'aime pas vraiment quand on me fait des remarque comme ça
Anne Boleyn — « C'est qu'un humain on se détend on dirais un string »
Sur ses parole fort charmante lui et moi quittons le lieu de ce meurtre et nous marchons a travers les rue du quartier, on entendais l'autoroute qui passait non loin, quand je pense que des gens arrive a vivre ici alors que les rues son limite dévastée. Alors que nous marchions je me plaignait a mon meilleure ami du fait que il me fallait un homme pour assouvir mes désir cela faisait trois jours d'abstience et je crois devenir folle. Il nous est arrivé de le faire ensemble juste pour tester, mais ça n'a rien donné de vraiment concluant. je passe une main dans mes long cheveux brun et soyeux.
Amadeo Hawkins — « EH ! C'est pas ton ex mari qui fait le gignole a cheval à côté de la voie rapide »
A ses mots je me déplace a la vitesse grand V pour me rapprocher et je ne peu pas m'empêcher de pouffer de rire en voyant Henri sur son cheval à galoper a côté de l'autoroute. Evidemment Amadeo me propose d'aller le récuperer et je suis assez d'accord il faut que je rattrape mes bêtises et que je les récupère tous et que je les éduque à la manière 2011. Je propose à mon ancien maitre à danser de rentrer Henri sera peut être plus coopératif avec moi en plus je suis en jupe avec des bottines. Il ne fait pas croire, je le connais vraiment bien j'ai des moyens de le convaincre. C'est alors que BAM ! Il s'écrase du coup ni une ni deux je me retrouve à l'aider a se relever.
Anne Boleyn — « Henri ! je me suis faite un sang d'encre pour vous je suis bien heureuse de vous retrouver sain et sauve, je vous en prie, permettez moi de vous venir en aide ! »
Oui je préfère lui parler encore comme à l'époque pour évider de trop le perturbé le pauvre, c'est déjà un assez gros choc comme ça. je le fais a soir d'en l'herbe qui était passablement polluée mais bon passion je m'accroupis en face de lui. je retrouvais enfin mon compagnon, mon unique amour et j'avoue que si mon coeur battait encore il aurais fait des bonds incroyables.
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Ven 4 Fév - 0:33 | |
| La douleur d'Henri n'avait pas duré une seconde, sa peau était redevenue une peau de vampire, aussi résistante que du diamant et qui, dans les bas extrêmes, avait le pouvoir de se refermer instantanément, si toutefois il n'était pas exposé au soleil. Il se remit donc très vite, mais pas assez pour évincer la venue d'une jeune femme près de lui. Elle le releva. Et il vit son visage. Il la reconnaitrait entre toutes. Anne. Ses longs cheveux noirs coulant sur ses épaules immaculées telle des flots sombres et impénétrables. Ses yeux clairs avaient toujours cette lueur si particulière. Et pourtant, une rage indicible traversa le corps invincible de l'ancien Roi. Il se jeta avec sauvagerie sur la "jeune" femme et la plaqua dos au sol et hurla dans un ancien anglais que son ex femme ne pouvait que trop comprendre :
-Que faites-vous encore là, femme du diable ? Ne pensez-vous pas avoir assez déshonoré votre Roi en le transformant en créature du diable ?
Quelqu'un de totalement objectif sur la situation aurait pu répondre à Henri qu'avec toutes les exécutions qu'il avait commandité, il était devenu une créature du diable bien avant d'être transformé en vampire. Mais jamais il n'admettrait sa folie meurtrière. Ou tout du moins il la considérait comme naturelle pour un monarque de droit divin. Personne ne pouvait lui dicter sa conduite et il en était plus que persuadé.
Henri planta ses ongles dans les épaules de la jeune femme qu'il trouvait, accessoirement, habillée bien étrangement, comme toutes les autres personnes qu'il avait croisé jusqu'ici, en réalité. Il en avait tué deux ou trois pour se nourir, et n'avait pas adressé la parole aux autres. Ce qui l'effrayait avec Anne, c'était qu'elle prenne le dessus, comme elle avait la sale manie de le faire, chose qui l'agacait prodigieusement. Mais c'était également tellement séduisant, tellement...Excitant ? Non ce n'était pas le temps de ressentir du désir pour cette femme qui l'avait transformé en abomination de la nature. Il devait obtenir des explications, une vengeance plus conséquente qu'une éxécution par décapitation et un retour sur le trône, quelque soit la situation du monde actuel. Il se trouvait être le centre de l'Angleterre, si ce n'était du monde. Henri Tudor, vampire puissant, Roi d'Angleterre. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Ven 4 Fév - 0:54 | |
| Ah mon époux je le retrouvais enfin, la situation était plutôt comique il est vrai je n'aurais jamais imaginer qu'il puisse voler un cheval et s'élancer ainsi vers Hampton Court s'il savais que son palais bien aimé était un musée et que l'endroit de ses exécution en était un également. mon dieu ! Je m'approche de lui à la vitesse de l'éclaire et l'aide à se relever en un rien de temps. cela dit il pris le dessus et me pis tombé me plaquant sur le sol froid et humide plantant ses ongles dans mes épaule sans aucune douceur. Je sors mes crocs de manière agressive. alors qu'il me parle dans ma langue "natale"
Henri Tudor — « Que faites-vous encore là, femme du diable ? Ne pensez-vous pas avoir assez déshonoré votre Roi en le transformant en créature du diable ? »
Anne Boleyn — « Femme du diable ? Est-ce donc ainsi que vous remercier la femme qui vous a rendu immortel ? Ingrat que vous êtes majesté. je vous ai tout donner. Mon affection, mon amour, une merveilleuse fille et une vie éternelle et vous me traité tel une catin ? J'étais innocente de toutes ses accusations et vous la saviez pourtant je me suis laissé trancher la tête et j'ai disparu pour vous mais aujourd'hui... »
Je plente ems onglange dans sa gorge le faisant assoir puis ce coucher venant à moi tour sur lui, pour lui rappeler la belle époque il gouvernais notre pays certes, mais moi je gouvernais notre lit conjugale et je fut la seule de ses épouse a avoir les tripes de lui tenir tête. je me mets à califourchon sur lui gardant ma main refermée sur sa pomme d'Adam, bien sûr je ne le faisait pas saigner
Anne Boleyn — « Aujourd'hui je suis la seule de vos épouses encore auprès de vous et sachez mon seigneur que je suis la seule a pouvoir vous aider à vous adapter »
Dis-je avant de venir l'embrasser tout en gardant mes crocs sorti. Chez les vampires c'est assez courant. Je ne relâche pas mon étreinte puis m'écarte de ses lèvres restant tout de même très proche. C'est un vampire ne l'oublions pas plus de 450 ans sans faire l'amour c'est dur. voir une torture en fait. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 6 Fév - 21:03 | |
| Anne n'avait pas changé. Henri l'avait aimé, cherchée, tuée. Il avait également tellement redouté ses yeux clairs son visage si expressif...Son amour pour cette femme avait toujours été extrêmement complexe. Elle avait été différente de toutes les autres. Ils avaient joué un long et complexe jeu du chat et de la souris. Il avait été ingrat, elle avait été dominatrice, et les rôles s'étaient si souvent inversés...Oui toutes les accusations étaient fausses. Hormis peut-être celle concernant sa fille Elizabeth. Il avait tellement cru que cet amour si puissant et tordu aurait pu donner naissance à l'héritier mâle qu'il attendait...Mais elle ne lui avait donné qu'une autre fille, une réduction de Mary dont il n'avait cure. Bien sur une fois la rancoeur épurée, il avait été à même d'aimer ces deux enfants, la brune sage et mature, et la fillette rousse écervelée. Il avait de tendres souvenirs avec ses filles. Mais il n'aurait pu avouer cela, il avait une fierté royale et machiste.
Les yeux clairs de l'ex-reine, ses cheveux, sa peau, son air fier, tout cela était sublimé par son vampirisme, sa voix, bien qu'agressive, résonnait harmonieusement. Comme si le temps n'avait fait que l'embellir, lui donner une prestance encore plus importante que celle qui avait été sienne. Henri ignorait qu'Anne s'était affranchie de toutes les convenances ancestrales et qu'elle était aujourd'hui plus libre que jamais, imprégnée du XXIème siècle.
Henri fut tout à coup couché au sol, les ongles nacré d'Anne plantés dans sa gorge. Sa voix était sifflante, dominatrice, claire et profonde. Elle était la dernière, l'ultime. C'était vrai. Mais le Roi n'était pas prêt à se faire dominer ainsi. Il voulut réagir mais les lèvres d'Anne éfleurèrent les siennes, réveillant en lui l'instinct charnel, le souvenir de ses nuits torride avec cette femme qui l'avait dominé, lui le Roi d'Angleterre...Il grogna de rage de remuant sous l'étreinte d'Anne et lui cracha ces mots à la figure :
-Vous ne m'avez pas donné le fils que j'attendais et je n'avais cure de votre immortalité, sorcière !
Cette rancoeur n'était que la dissimulation d'une passion qui dormait depuis des centaines d'années, mais que le Roi ne pouvait montrer de par sa fierté, Henri commençait à le sentir au plus profond de son coeur, il aimait Anne, et il serait lié à elle d'une manière ou d'une autre. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 6 Fév - 21:40 | |
| La domination, c'est dans mon caractère, je suis une femme qui ne se laisse pas faire et qui n'aime pas se laisser "chevaucher" par un homme. Et cela depuis toujours. je fut jadis une grande reine un reine protestante une femme qui fut bonne avec son peuple, enfin je l'espère. Je reste assise sur mon ex-mari plongeant mes yeux océan dans les siens, alors que mes ongles se plantent dans sa peau froide de mort-vivant. Je ne peux m'empêcher d'effleurer ses lèvres que je convoitais tant depuis toutes ses années, j'ai beau avoir eus de très nombreuses relation afin d'étancher ma soif et mon besoin de sexe, ce besoin irrationnel qu'on les vampires d'avoir des rapports sexuels
Henri Tudor — « Vous ne m'avez pas donné le fils que j'attendais et je n'avais cure de votre immortalité, sorcière ! »
je crache sur le sol à ses mots pour ne pas faire preuve de trop d'impolitesse. je lui envoie ensuite une gifle sur la joue avec une force incroyable avant de le reprendre par la gorge.
Anne Boleyn — « Monsieur notre fille est une des plus merveilleuse créature que je connaisse et je suis incroyablement fière d'elle et tout ce que vous avez réussit à faire c'est privé une enfant de sa mère et donc de la privé d'un amour parental car pour vous une femme ne mérite que te se faire sauté comme une jument et d'enfanté des garçons. Croyez moi mon cher époux ici c'est différent une femme à les mêmes droits que vous ! »
Dis-je avant de le lâcher et de me relever, mes crocs sortent il m'a réellement fais sortir de mes gons, j'envoie un vilain coup dans un arbre proche pour me calmer. Je crois même que... que des larmes ensanglantées étaient au bord de mes yeux. J'avoue que ça me fait toujours aussi mal, oui, je m'en voulais de pas avoir pus le satisfaire mais en même temps je suis tellement fière de ma fille unique.
Anne Boleyn — « Sa majesté aura sans doute besoin de moi pour s'adapter à sa nouvelle vie en 2011. »
Dis-je en restant très digne revenant vers lui, j'avais toujours des goutes de sang au coin des yeux mais je me refusais de me laisser aller maintenant. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 13 Fév - 16:55 | |
| Henri croyait rêver. Anne enfonçait ses ongles dans sa gorge, plus le giflait, et se rebellait ensuite contre les principes de la condition féminine de leurs siècles, des siècles passés, et des siècles à venir. Il eut un rictus mauvais. Mais en réalité, il ne maitrisait plus rien. Il voyait la poitrine d'Anne sublimée par son haut moderne et pour le moins étrange, ses cheveux lachés, ses yeux pleins de rancoeur, de haine, de déception, mais aussi d'amour. Oui il s'en faudrait de peu pour que l'amour des deux vampire redeviennent vivaces. Il le sentait, et il le redoutait.
Bien sur, il aimait Elizabeth. Mais il aurait préféré que ce soit un garçon. Maintenant, il avait Edouard. Il cesserait donc d'importuner ses deux descendantes, Mary et elle, les reniant, leur montrant ensuite des signes d'affection...Non, il était prêt à vivre avec tous ses enfants. Mais les paroles d'Anne glaçaient son sang déjà froid. Une femme ? Egale à un homme ? C'était impossible ! Une femme enfantait, une femme était faible, belle et séductive, mais faible. Elle ne régnait pas sur un royaume, elle ne partait pas à la guerre, elle n'était pas virile. Henri avait donc beaucoup de mal à s'imaginer un monde où Anne serait traitée comme son égale. Pourquoi ne pas abolir les privilèges de la noblesse pendant qu'on y était.
Il vit les larmes de sang poindre au coins des yeux de sa dame. Mais il le savait elle était forte. Il ne l'avait pas souvent vu pleurer, voire jamais. Il n'avait pas assisté à son exécution, mais il avait entendu dire qu'elle avait été incroyablement digne. Une vraie attitude de Reine. Elle l'avait aimé jusqu'au bout. Et lui aussi. Mais Henri avait en lui quelque chose qui le poussait à repousser les limites, à tuer et aimer passionément. Il savait qu'il avait vécu de tendres scènes familiales, mais une fois ses enfants partis, une fois cette période écoulée, des instincts bestiaux le prenaient, et il ne désirait que peu de choses : le pouvoir, le sexe et le sang. Il était cruel et légèrement fou, mais il ne l'admettrait pas. Il était le Roi, de droit Divin, et personne n'avait rien à redire.
Anne se leva, Henri se redressa. Elle s'était détournée. Elle était belle. Douce et froide. Sanglante. Comme il l'aimait. Sa tête avait été tranchée, et elle avait été ressoudée. Immortelle. Il la voyait tout à coup fascinante. Une fascinante sorcière. Une créature du Diable. Il s'approcha d'elle, prêt à caresser le creux de sa nuque, mu par une pulsion qui lui était de nature indéfinie, mais elle se retourna, et déclara avec froideur qu'il aurait besoin d'elle. 2011. Plus de 500 ans avaient passé. Henri n'aurait jamais imaginé une telle date. Même lorsqu'il évoquait le futur, il lui était impossible d'aller si loin. Il regarda la belle vampire dans les yeux, et déclara d'une voix blanche :
-2011 ? Que Dieu m'aide à soutenir cette épreuve. Et vous Anne ? Qu'avez vous fait ? Comment avez vous fait pour traverser ces époques ? Expliquez moi tout.
Il s'était calmé. Il commençait à sentir qu'il ne résisterait pas longtemps à cette magnifique femme. Et que son désir brulant reviendrait le hanter, aussi vivace que dans leurs premiers jours, leurs premières amours. Mais la situation était différente. Henri ne comprenait rien à ce qui lui arrivait, mais pour l'instant, cela lui était presque égal. Il ne songeait à présent qu'à sombrer dans la folie avec celle qu'il redécouvrait. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 13 Fév - 19:46 | |
| Henri et moi étions un couple particulièrement fusionnel. pourquoi ? Et bien en vérité on ressentait avec un certaine facilité ce que l'autre éprouvait et lorsque nous avions des mots cela venaient des deux côté. je en craignais nullement de lui répondre et je crois qu'il aimait qu'on lui résiste. Cela n'en était que meilleur une fois le soir venu. je pense qu'avais Catherine il ne pouvais être aussi violant lors de l'amour, alors que moi j'aimais ça. D'ailleurs je l'était tout autant, je me rappelle encore que quelques mois avant ma mort je l'avais griffé tellement fort qu'en en avait garder des marque incroyable. Et comme cela c'était passé avant que je ne le transforme il est possible qu'il les ai gardée.
Lorsque j'ai commencé à parler ce que que j'ai ressentis je sentis des larmes au coin de mes yeux. mais je les retiendrais du mieux que je le pourrais. De plus Henri se trompe, j'ai pleuré devant lui, une fois. Et j'ai pleuré à cause de lui un bon nombre de fois mais dans mes appartements privés. Je me rappelle lorsque mes larmes on coulé c'était le jour ou il me fit comprendre que j'étais condamnée. Ce fut des larmes de sang qui s'échappèrent de mes yeux de couleur lagon. je portais dans mes bras notre enfant. Je le suppliais quasiment à genoux pour notre enfant . Mais je me souviens encore de se regard dégouté alors qu'il me repoussai comment une fermière. Depuis se jours j'ai appris que les larmes ne servaient a rien. C'est pourquoi je les ai toujours retenue du mieux que je le pouvais.
Je me suis par la suite relevée pour séché tout de même mes larmes qui étaient sur le point de couler. je le laissait ainsi se relever me disant bêtement qu'il avait compris que j'étais plus puissante que lui en tant que vampire étant donnée que moi je me suis renforcée au fil des siècles. Alors que lui était rester cloitrée dans un cave durant 560 ans et des poussières.
Henri Tudor — « 2011 ? Que Dieu m'aide à soutenir cette épreuve. Et vous Anne ? Qu'avez vous fait ? Comment avez vous fait pour traverser ces époques ? Expliquez moi tout. »
Je me retourne alors qu'il était approché tout en douceur. je soupire non amis regardez moi dans quel état était le fameux Henri VIII d'Angleterre. En haillons et il sentait vraiment pas la rose. En plus à première vu il me semblait qu'il devais avoir faim.
Anne Boleyn — « Permettez moi d'abord de vous rentre figure humaine car vous sentez le vieux bouc »
Sans attendre la moindre réponse le le pris sur mon dos avec rapidité et en 2 minutes nous étions sur Camden Town, mon lieu d'habitation. Je gardais sa main dans la mienne et lorsque je sentais qu'il allait faire un truc "moche" je le serrais assez fort. Nous montâmes dans le loft que je partageais avec Amadeo, mais celui-ci n'était pas là, surement encore en train de chasser. J'allume les quelques lumières. Puis l'emmène dans ma chambre qui avais sa salle de bain privée c'était mieux car même si nous étions très amis nous souhaitions garder une certaine intimité.
Anne Boleyn — « Ce que j'ai fait, j'ai vécu ses 500 ans, j'ai vu l'avancement de la technologie, de la médecine. La musique la mode...J'ai vu les gens changer la gouvernement l'église et aussi les façon de s'exprimer. J'ai dans mon grenier plus de 500 ans de mode, j'ai garder certaine de mes robes pour me forger des souvenir sur chaque époque que je traverse. Et sache que ce n'ai pas en manque de respect lorsque je te parle c'est simplement la manière de s'adresser à cette époque. »
pendant que je parlais le le déshabillais sans aucune gêne et je le mis dans la douche. Retroussant mes manches j'ouvris les robinets d'eau et me mis à laver le rois d'Angleterre. En même temps l'eau qui s'écoulait dans les égouts étaient brune. je lui lave les cheveux , le corps, lui lave les oreilles et lui brosse les dents avec un brosse à dents électrique. Et lui donne un peignoir en attendant de trouver mieux pour le vêtir. Mais après tout ça moi j'étais complétement trempée. Comme je savais qu'il avait toujours faim je prend un poche de sang dans le frigo et la verse dans un verre le lui donnant. Puis, enfin je vais me changer. enfilant rien de plus qu'un t-shirt serré et un shorty qui étaient mes vêtements de nuit. Et je reviens m'installer près de lui.
Anne Boleyn — « Je ne m'excuserais pas de t'avoir donner une vie éternelle car tu me l'a souvent dit, c'est ce que tu voulais. Je ne pouvais pas te dire ce que je faisait tu m'aurais mise sur le bucher et là je serais réellement morte maintenant. » |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Lun 14 Fév - 2:31 | |
| Le visage d'Anne se tourna vers lui, plein de compassion attendrie et moqueuse. Elle lui asséna la remarque sur le fait qu'il n'était absolument pas présentable, tout du moins en tant que Roi, et lui fit une remarque désagréable sur son odeur. Il allait s'en offusquer, quand la "jeune" femme le mit sur son dos, et avec la vitesse fulgurante qui caractérisait si bien les immortels, mais qu'Henri n'avait jamais eu vraiment le temps d'expérimenter, elle courut jusqu'à une demeur pour le moins étrange. En hauteur, non pas fait de pierre, mais d'une matière lisse et inconnue, et dont la décoration intérieure était surprenante. Elle n'était pas riche et dorée, mais pas pauvre. Elle était lisse. Les couleurs étaient tranchées, le mobilier simple. Et le tout était rempli d'objets incroyables, qu'Henri ne se lassait pas de regarder. Il tournait la tête dans tous les sens, comme un jeune chiot arrivé dans une nouvelle maison. Le Roi d'Angleterre était plus que fasciné par cet intérieur peu habituel.
Mais Anne ne lui laissa que peu de temps pour le faire, elle l'entraina aussitôt après dans une pièce toute blanche aux reflets marbrés, et le plongea dans ce qu'il devina être une baignoire, avant de l'asperger d'eau, et de le laver allègrement, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde, tout en lui expliquant diverses choses sur ses époques traversées, et commençant à lui parler de manière étrange familière. Le vouvoiement ne s'entend pas en anglais, mais le choix des mots sonnait plus simple plus étrange. Elle lui parla sucsintement de la mode, de la technologie...Mais ce qui retint son attention furent les paroles sur l'église et le gouvernement. Henri se figea. Il voulait s'assurer de certaines choses.
-Ma Dame, dites moi tout. Quelle est la situation politique actuelle du monde, et plus particulièrement de l'Angleterre, mon pays bien aimé ?
Des milliers de craintes s'insinuaient dans l'esprit d'Henri, comme celle d'une appropriation de ses terres par un autre pays, ou encore la perte de territoires...Il n'en était pas encore à imaginer une monarchie constitutionelle. Cela n'existait pas encore dans son esprit immortel. Il ne pouvait concevoir ne serais-ce que l'idée. Les révélations d'Anne risquaient d'être douloureuses.
Tandis qu'il songeait, l'ex-Reine lui avait lavé les cheveux et toutes les parties du corps, et lui introduisait à présent un instrument vibrant dans la bouche. Celui-ci diffusait un gout piquant mais frais. De la menthe, mais amplifiée. Il dut se retenir pour ne rien cracher. Elle lui rinça ensuite la bouche avec de l'eau, le fit sortir de la baignoire, lui passa une sorte de robe de chambre moelleuse qu'il noua sucsintement, puis elle le fit asseoir sur un canapé de cuir noir, avant de lui tendre un verre de sang, que le Roi but avidement. Il se sentit recouvrer des forces. Il arrêta toutefois immédiatement de boire lorsqu'Anne revint, habillée le plus légèrement du monde, si bien qu'il en eut un hoquet de surprise. Elle s'installa près de lui. Leurs cuisses se frolèrent, et Henri tressaillit. Oui le désir brulant d'homme qui l'avait toujours animé, surtout lorsqu'il s'agissait de tromper sa femme du moment, se ravivait plus fort que jamais, à cause de l'immortalité. Henri prit une grande inspiration.
Les paroles d'Anne étaient vraies. Mais il ne pouvait l'admettre. Ou tout du moins il avait du mal. Il s'enfonça dans le canapé, plongea son regard dans le sien et murmura :
-Une éternité à vivre...?
Il était vrai qu'il aurait pu la brûler. Mais il ne l'avait pas fait. Peut-être savait-il au fond de lui que ce serait inefficace. Peut-être. Ses sentiments avaient toujours été confus. Peut-être cette nouvelle vie lui apprendrait-elle une certaine constance. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Mar 15 Fév - 1:04 | |
| Je n'ai oublié aucune partie de l'anatomie de on époux, car il est vrai qu'il sentait vraiment mauvais, 570 ans enfermé et là depuis une semaine sans douche, mon dieu je puis vous assurez que même un vampire peu sentir très mauvais, mais c'était pas comme les humains, en fait Ça sentait le cadavre en putréfaction. Il était donc de mon devoir de le nettoyer, il n'aurais pas pus le faire seul je l'imaginais bien tout seul en face d'un paumeau de douche. Mon mari est loin d'être stupide, mais la technologie, je crains qu'il n'en sois pas tout à fait informé encore. Alors que je le savonnais de partout il me demanda de lui raconter l'histoire. Je la lui résuma dans les grand lignes étant entrain de le laver je ne pouvais pas tout faire non plus.
Une fois propre comme un sous neuf avec une halène délicieuse je lui tendis un peignoir très doux. Et comme une fois n'est pas coutume de prendre soin de lui je l'installe sur mon grand canapé en cuir allant par la suite chercher dans le frigo un poche de sang que Amadeo est allé dérobé à l'hôpital. Etant particulièrement attentionnée je le met même quelques instant au micro onde pour qu'il soi à température buvable. je le lui ramenai avec un sourire puis disparu pour aller enfiler un pyjama, je crois 'avoir quelque peu choqué en revenant d'ailleurs.
Henri Tudor — « Ma Dame, dites moi tout. Quelle est la situation politique actuelle du monde, et plus particulièrement de l'Angleterre, mon pays bien aimé ? »
Je me mords alors la lèvre inférieur, me relève et vas chercher dans une armoire trois livre fort pleins. C'était comme des livres d'histoire mais remplis par mes soins, je les avais préparé pour son retour et j'y avais mis l'évolution politique, géographique, médicinale, technologique.
Anne Boleyn — « Henri, dans l'espoir de t'avoir un jour à nouveau à mes côtés j'ai écrit, beaucoup écrit sur ce que j'ai vu, sur l'évolution de notre monde. je suis certaine que ce sera plus simple pour toi si tu en prenais connaissance de par toi-même et si tu désir en savoir davantage je serais là. mais je pense que c'est mieux mes écrit de renseignerons davantage car pour moi, c'est si loin tout cela. »
Avouais-je timidement en lui tendant le premier livre Un vampire lis environs 20 a 30 fis plus vite qu'un humain du coup je en doute pas qu'il aura terminé mes ouvrage en quelques heures. Je caresse sa nuque légèrement jouant avec la racine de ses cheveux alors qu'il commençait sa lecture, je me rappelle très bien de ce qu'il aimait que je lui fasse. Tant qu'il était doux, je l'étais également. C'est ainsi que notre couple fonctionnait. Henri aime qu'on lui réponde. Celles qui on compris cela on eut le roi d'Angleterre toute à elles. Il se trouve que je fut la seule à réellement lui tenir tête voila pourquoi Seymour, Howard, Clève, Parr et Aragon n'ont su le garder. Moi il m'a tué par amour et je sais qu'il l'a regretté. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Mar 15 Fév - 16:49 | |
| Anne sembla embarrassée, et les doutes d'Henri ne furent que renforcés. Il la regarda se lever avec apréhension, et revenir pour lui donner plusieurs épais volumes reliés de cuir rouge, anciens mais très bien conservés. Son immortalité avec du permettre à Anne d'apprendre beaucoup de choses, dont la conservation des documents et la restauration des livres anciens. Son ex-femme lui expliqua ce qu'elle avait fait, et Henri hocha la tête. Il ouvrit le premier livre. Les première pages ne lui apportèrent pas grand chose. Anne avait commencé sa rédaction après son éxécution, il avait donc vécu ces évènements. Puis il se vit "mourir", Anne précisant à chaque fois ce qui était la réalité de ce qui avait été inventé. Les années passèrent. Les décénnies, et les siècles. La tournure que prirent les évènements en terme de monarchie anglaise le sidérèrent. Evidemment ce n'étaient pas ses enfants qui lui avaient succédé sur le trône, même si on avait inventé le reigne de Mary, Elizabeth et Edouard après lui. Ce furent les descendants de sa soeur Margaret, lignée jamais réellement brisée, mais interrompue par l'arrivée des Cromwelle au pouvoir durant quelques années. L'actuelle Reine, une certaine Elizabeth II, avait donc du sang en commun avec lui. Mais elle n'avait plus aucun pouvoir. Elle n'était plus rien qu'un symbole de la Monarchie anglaise. Et le pire était que cette vieille femme ne se plaignait même pas de son statut rabaissant. Elle laissait des hommes élus par le peuple , sans aucune goutte de sang noble. Les deux guerres mondiales impressionnèrent Henri, l'abolition de la peine de mort dans son royaume et nombre d'autres pays le révolta, et l'union européene le laissa perplexe. Il referma le dernier livre à l'aube. Anne lui caressait toujours le creux de la nuque. 500 ans de sommeil. Tel était le prix à payer. Ce n'était plus le monde qu'il avait connu. C'en était un autre. Henri ne savait pas s'il aurait la force de le soutenir. Il se sentait tout à coup découragé, par le poid de ce qui s'était produit durant son long enfermement. Il serra fort la petite main d'Anne, plus blanche encore que la sienne et effleura ses lèvres :
-Mon Dieu, Ma Dame...Je ne sais si je saurais m'accomoder de cette nouvelle vie...Ce monde n'est plus le mien...Vous avez raison, j'ai besoin de votre aide...
Il laissa reposer sa tête contre son buste, songeant à ses enfants et à sa cour, qui erraient à présent par sa faute dans une Angleterre transformée. Henri avait besoin de temps avant d'assimiler tout cela, de comprendre, et de se forger une réaction, ainsi qu'une nouvelle vie. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Mer 23 Fév - 21:55 | |
| Je l'ai laisser se documenter sur la vie qui c'est déroulé durant son absence. Cela ne m'a pas ennuyée une seule seconde, j'étais passionnée par ses fait et geste, bien plus qu'à l'époque. J'obresvais ses doigts glisser sur le papier, ses lèvres trembler de plus en plus, le pauvre homme, il est certain que je le plaingnais.
« Mon Dieu, Ma Dame...Je ne sais si je saurais m'accomoder de cette nouvelle vie...Ce monde n'est plus le mien...Vous avez raison, j'ai besoin de votre aide... »
Une petit sourire écarte mes lèvres, le jour se levais lentement. J'allais attendre 7:00 pour téléphoner à l'université et me faire porter malade, je ne vais pas le laisser tout seul après de tels découverte tout de même. je me lève et m'étire doucement prenant alors sa main.
« Des choses n'ont pas changé. »
J'ouvre un trappe dans le plafond que fait descendre un escalier. Je l'y fait monter et je monte à sa suite. ainsi nous serons à l'abri du soleil, en tout cas lui. Je me dirige dans un coin ou se trouve plusieurs malles et coffre et tire celui qui était tout en dessous. Je l'ouvre et dedans: Une des nombreuse robe qu'il m'avais offerte tous les lettres qu'il m'avais écrite pour me prouver son amour, mon fameux collier de perle avec un "B" en or, diverses coiffes des portraits crée par monsieur Holbein...
« Majesté, si vous êtes prête, je suis en clin à vous faire découvrir la vie "so british" de 2011. Mais sachez qu'avez mois pour aurez toujours le goût de 1530. »
Dans l'espoir de le rassurer je sors la robe et les dessous, (corset et jupon). Mais je regardais cela comme si cela venait d'une autre planète, Mon dieu je crois que j'ai oublier comment me vêtir.
« Sa majesté arriverait-elle à me venir en aide pour enfiler ceci ? »
Demandais-je avec la douceur d'un Boleyn. En effet n'oublions pas que sa relation avec ma grande soeur a duré bien plus longtemps que al mienne, il à eus deux enfant avec elle et croyez moi que je l'ai jalousée, atrocement ! Cependant c'est moi qu'il aime, j'en suis sûr, Il ne peux pas en être autrement sinon il ne m'aurais pas suivie ici et ne regarderais pas cette robe et surtout se corset avec tant d'admiration. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 27 Fév - 0:35 | |
| Anne prit la main d'Henri doucement, et il se leva. La vampire ouvrit une trappe dans le plafond et ils y montèrent tous deux, par une petite échelle. Le Roi avait lui aussi senti les rayons du jour poindre, et avait peur pour sa vie. Heureusement, le grenier ou l'emmena Anne était sombre et rempli de malles, ainsi que de divers objets, témoignant de la vie déjà longue de l'ex-Reine. Henri contemplait tout ceci avec admiration, quand la Boleyn déclara qu'elle désirait effectivement lui en apprendre plus sur la vie en 2011, mais qu'elle appréciait toujours la mode de l'ancien temps. Celle-ci sortit alors d'une malle une très belle robe qu'il lui avait offerte, et dont il se souvenait très bien. Elle était bleue foncée et pourpre, couleurs qui allaient vraiment très bien à la jeune femme qu'elle était, et dont elle avait conservé l'apparence, accumulant la sagesse sous ce masque juvénile.
Henri considéra les vêtements, les bijoux et les coiffes, souriant à la vue du pendentif en forme de "B", et regarda ensuite la vampire, qui semblait perplexe devant les dessous qu'elle devait mettre. Il semblait que la dernière fois qu'elle avait porté cette parure datait d'il y avait des siècles. Et c'était en fait la réalité. Henri, se détendant peu à peu, sourit, et, sans vraiment répondre à la question d'Anne, retira le débardeur qu'elle avait auparavant enfilé, tout en lui murmurant à l'oreille :
-Je veux bien, Ma Dame, mais il est fort possible qu'ils soient retirés aussitôt sur vous.
Il commença alors à retirer son soutien gorge, n'en comprenant pas exactement l'utilité, ainsi que son shorty. Il prit ensuite les jupons et entreprit de les attacher autour de la taille d'Anne, puis attacha le corset afin de mettre sa poitrine en valeur, et lui enfila la robe. Cela prit une bonne dizaine de minutes, car ce n'était pas si simple, et si Henri avait toujours été doué pour déshabiller les femmes, il l'était un peu moins pour le processus inverse. Toutefois, la vampire se retrouva habillée, et Henri, satisfait de son ouvrage, posa sur sa tête une magnifique coiffe d'or qui faisait penser à un soleil. Il fit enfin délicatement jouer le collier entre ses doigts, regardant le reflet des perles de nacre jouer avec l'ombre ambiante. Il le passa doucement au cou d'Anne, et lui murmura dans l'oreille :
-Alors, satisfaite ?
Il se plaça devant elle pour l'admirer. Elle était encore plus belle qu'à l'époque. Elle avait toujours été belle. Il était sur que même lors de son exécution elle l'était. Un charme magnifique, peut-être empoisoné pour certains de ses contemporains, mais tellement sublime, et surtout spécial. Leur fille Elizabeth avait hérité de cette beauté, et avait prit la majesté de son père.
-Vous êtes sublime, Lady Anne Boleyn, déclara le Roi en souriant.
Sentant qu'il ne pourrait résister très longtemps, il s'approcha de la vampire et posa ses lèvres contre les siennes. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Dim 27 Fév - 1:16 | |
| « Je veux bien, Ma Dame, mais il est fort possible qu'ils soient retirés aussitôt sur vous. » Un sourire éclaira alors mon visage.
Les robes de l'époque étaient d'un complexité incroyable, mais tellement belles et gracieuse je n'ai nullement revue de tel vêtement au file des siècle. et même si cela et fort inconfortable j'avoue préféré ma silouhaite plate et avoir le buste rebondi sur le haut plutôt que de laisser ma poitrine tel quelle et poster des cols en "V" pour la montrer davantage. En me retrouvant face à cette robe bon nombre de souvenir remontèrent...le jour ou je l'ai reçu par exemple j'avais été très surprise car en réalité j'en était à ma première fausse couche, c'était le jour d'après si ma mémoire ne me joue point de tour. Le roi avait été trait rude en apprenant que j'avais perdu son enfant et pourtant le lendemain un de ses page m'apporta se véritable joyaux qui se trouvait être à la mode française de l'époque. Avec le simple message qu'il espérait me la voir porter pour qu'il puisse me dévêtir aussitôt. je caresse le velours bleu foncé et le pourpre de la soie. pas une perle de manquais et les fils d'or des manches étaient intacte malgré les siècle passé à attendre d'être ressortie et d'être mise.
Le roi me fit me lever et retira le débardeur que je portais puis mon soutien-gorge et je fut agréablement surprise par sa déxterité face à ce vêtement nouveau pour lui, il retira par la suite mes vêtements du bah je me retrouvais donc nu fasse à lui, cependant je n'éprouvais nul gêne à cela puisque il reste mon époux quoi qu'il arrive.Il passe mon jupon de coton blanc cireux puis mon corsage en soie qu'il sera avec force lentement il enfila ma jupe depuis en haut puis le corset plastron alors que je mettais quelques épingles dans mes cheveux. Ce fut le tours des manche set je lui vins en aide pour lui montrer comment les attaché, c'est de loin la partie la plus délicate mais celle-ci je m'en souviens très bien, lorsque j'étais jeune demoiselle à la coure de France la reine me demandais très souvent de lui ajuster ses manches.
Lorsque je fut habillée le vis le roi fouiller dans la malle, que cherchait-il ? je le sus quelque secondes plus tard puisqu'il sorti ma coiffe en or incrustée de quelques diamant et de perles nacrées. J'incline légèrement la tête pour qu'il me la mette, puis la touche final a notre retour vers le passé fut le collier de ma famille.
« Alors, satisfaite ? »
« Mon seigneur est très habile je l'en remercie »
Dis-je avec un sourire et en me pliant dans un révérence gracieuse dont seul les filles Boleyn on le secret. Je tourne lentement pour le laisser le loisir de m'admirer dans les moindre détail je fait volé les pans de ma robe comme si je dansais une gigue.
« Vous êtes sublime, Lady Anne Boleyn »
« Son altesse est bien trop bonne »
Il s'approche de moi, passant une main posséssive dans am nuque et plaquant ses lèvres contre les miennes. je ferme alors les yeux posant mes mains sur sa taille et profitant de cette échange passionné emplis d'envie. Je me disais bien qu'il finirais pas succomber ce n'est qu'un homme après tout, de plus je suis sa créatrice, ile st donc normal que ne puisse me haïr c'est comme si le vampire qui était en moi était la mère du sien.
« Suis-je encore dans votre coeur majesté ? »
Demandais-je une fois notre baiser terminé. |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Lun 28 Fév - 1:00 | |
| Le baiser s'approfondit, apportant à Henri une foule de souvenirs se bousculant dans son esprit. Leur premier baiser, ceux dans la forêt, ceux dans la demeure de son père, ceux au détour d'un couloir, ceux dans les jardins...Si son coeur avait battu, c'aurait été à une allure folle. Fou, Henri crut bien le devenir quand Anne mit fin au baiser pour demander avec toujours ce charme fou si elle était encore dans son coeur. Le Roi d'Angleterre contempla le visage si particulier d'Anne, gravé à jamais en lui. Evidemment. C'était l'évidence à présent. Il l'aimait. Il n'avait pas vraiment aimé Catherine d'Aragon. Il avait de l'affection pour elle, certes. Mais ne pouvait en être amoureux. Il avait aimé Jane Seymour. Mais elle était morte et rien ne le lui rendrait. Anne de Clèves n'était rien de plus qu'une bonne amie, pour toujours. Catherine Howard l'avait trompé, elle n'aurait plus jamais eu son coeur. Catherine Parr était elle aussi pour toujours perdue...Il savait qu'il reviendrait à Anne Boleyn un jour, au plus profond de lui. Henri caressa doucement sa joue. Il avait presque envie de pleurer, tellement ses émotions actuelles étaient forte.
-Oui.
Il fit glisser ses lèvres sur sa peau, et courir ses mains sous ses jupons. Elle était douce. Si froide, mais si douce. Vampire. Il lui mordilla le cou. Il avait envie d'elle, c'était maintenant évident. Il passa sa main dans les cheveux d'Anne pour lui retirer sa coiffe et défaire ses cheveux, qui s'envolèrent pour retomber avec un bruit harmonieux sur ses épaules. Son odeur non plus n'avait pas changé. Elle était plus forte, plus fascinante, plus séductrice encore que par le passé.
-Anne...
Il soupira et délaça son corsage, tout en l'embrassant passionément. Il l'aimait et la désirait, c'était évident. Il savait qu'il aurait du penser à d'abord s'intégrer dans ce nouveau monde, mais il préférait revenir aux valeurs sures, tout d'abord, rester dans ce qu'il connaissait. Il avait besoin d'Anne, tellement besoin d'elle... |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. Mar 1 Mar - 0:53 | |
| Notre baiser s'aprofondis et s'enflamme, je lui ai manqué il n'y a aucun doute je suis certaine que cette...Seymour ne lui faisait pas tant d'effet. J'en était certaine après tout ce n'était qu'une Seymour. je suis une Boleyn de la branche de Howard ! N'oublions pas que ma mère fut la soeur du duc de Norfolk, tout de même les Seymour n'était rien avant que le roi se réconforte dans les jupons de cette catin qui savait à peine lire. je suis encore emplie de rancune contre cette femme, je veux bien l'avouer. Après tout, le temps n'efface pas tout malheureusement. Certaine cicatrice resterons toujours comme le jour ou, encore enceinte le le vois poser sa main sur sa cuisse. Je crois que je n'ai jamais été aussi malheureuse, Mon père m'avais dit de choisir les maitresse du roi car en étant enceinte je ne pouvais pas l'empêcher d'en avoir. Mais ça n'a marcher que pour al première et la deuxième grossesse.
Je sentis une main assurée passé sous mon jupon. je remonte donc la jambe et la colle contre sa hanche alors qu'il passe cette main sur le haut de ma cuisse alors qu'avec l'autre il délace déjà mon corsage
« Oui... » M'avoua-t-il a la fin de se baisez enflammer. J'étais encore et toujours dans son coeur se coeur qui pourtant de bas plus mais qui possède encore le pouvoir de l'amour.
Je l'embrasse à nouveau avant de m'assoir sur le sol contre les coussins. Pourquoi des coussins dans le grenier ? Bah pour des occasion comme celle-ci par-dit et parce que la journée Henri devra rester ici tant que je ne lui trouve pas de diamant
Il murmurais mon prénom alors que je détachai son peignoir qui se trouvais être son seul et unique vêtement. Je souris et le fait glisser sur sa peau alors que mon corsages semble de plus en plus larges |
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| Sujet: Re: A cheval sur l'autoroute. Ou presque || Anne B. | |
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