Couchée sur un sol de pierre humide sous terre d'un un lieu clos loin du monde je souffrais...souffrais d'une soif impossible je ne pouvais dormir vraiment. et je ne pouvais bouger davantage j'étais auprès de mon père et auprès de mon petit frère, que je tenais dans mes bras. je ne respirais plus, mes yeux était brouillé même les bruit ne me parvenaient que très peu. cela dit je senti, quelque temps plus tard un vent violent sur mon visage et les reflet brillant d'une lune argentée. un courant d'air ma passa près du visage et je senti cette odeur, hmm oui du sang, je rassemblais le peu de force qui me restait pour me hisser sur les genoux de mon père en espérant qu'il me sauvais la vie, et c'est ce qu'il fit..après avoir nourrit Edouard évidement. Il me donna du sang et ma peau, flétterie et désséchée pas l'absence se sang redevins douce et soyeuse, j'avale un gorgée d'air ce qui me fait toussé, mes poumons devais être emplis de poussières. lorsque je me leve ma robe tombe en lambeau, mais que se passe-t-il pour l'amour de dieu. Mon père sans se préoccupé de sa tenu ni de son hygiène s'en va comme un sauvage suivie de son ami Charles Brandon je reconnais au loin Anne Boleyn, la câtin ! Ma soeur et mon frère s'en vont également. je m'en fait ensuite avec la duchesse de Soffolk, femme de Charles. Laissant cette grue seule dans ce tombeau. Le première chose que la duchesse et moi fissent c'est de nous trouver de nouvelle robe, malheureusement rien n'était comme avant cela semblait être des vêtement et pourtant ma de soie ni de velours par de ruban ni de perle et de fils d'or pas de coiffe merveilleuse ne même de corset.

Nous entrâmes dans une échoppe avec en vitrine de longue robe noir avec corset cela mettais en valeur notre poitrine mais c'est ce qui ressemblais le plus a nos robe à nous...Plus tard j'apprendrais que ses robe son des robe de jeune femme gothique et si je ne m'égare ce sot les partisente du diable... Cela dit à ce moment le l'ignorais. Tout ce qui m'importais était d'être vêtue. Je prend des chaussure également comme des petite ballerines, noires également, je quittais les lieux sans la duchesse car l'alarme me fit affreusement peur. je me suis par la suite trouvé fasse à les engin avec des yeux lumineux qui allaient à une vitesse impressionnante et qui faisait beaucoup de bruits. les larmes me montrèrent j'avais si peur, dans quel monde suis-je tombée. Seigneur est-ce l'enfer ? Pourquoi suis-je ici, que se passe-t-il ? Que de questions.. des centaines se bousculaient dans ma tête. Des gens passaient devant mois et je...leur odeur me donnaient tant envie...Mais cela ne se fait point, seule les créature du diable se nourrissent du sang de leur semblables. Je décide donc de marcher afin d'oublier cet étrange désire. Ma gorge était pourtant si sèche et ma langue si rapeuse et l'eau n'y faisait rien. Lorsque les premières lueurs du jour firent leur apparition je senti ma peau bruler... Mon dieu quel était se maléfice !

Je passe quinze jours et quinze nuits dans les cave d'un immeuble abandonné je commence a m'affaiblir affreusement....Lors de la seizième nuit je décide de quitte ma cave afin d'aller prier dieu de me ramener à lui. je en sais pas comme j'ai réussit a trouver mon chemin parmi tout se tapage, mais je reconnais la cathédrale de St-Paul. je ms rend en courant et m prosternant carrément devant la statue de la sainte vierge la suppliant par tout ce qui était saccré en se monde. C'est alors que le bruit de la porte de la cathédral me fait me redresser d'un coup ce qui me donne un léger vertige face au manque de sang.

« Qui est la ? »

Dis-je d'une voix passablement douche, mais en même temps dur et effrayée. Après tout je suis al fille de mon père et de ma mère. le grand Henri VIII et la grande Catherine d'Aragon, plus d'une personne désir ma perte.