pardonne mi ( pv addison)

J'étais devants sa porte, j'avais fait fort encore aujourd'hui. Bill m'avais tellement énerver que j'avais passer mais nerf sur lui. Il allait me tabasser j'en étais sur. En fait, si il me tapait dessus ses parce que aujourd'hui j'avais encore chercher les coups. Je pris une grande respiration et je tape trois coup sec a sa porte. Je n'étais pas fière de moi et surtout je ne voulais pas lui perdre son amitié.

J'étais toujours devants cette maudite porte et attendais qu'il m'ouvre. je me mis a sonner et supplia a travers la porte.

Andréas schlacher: - Je t'en supplie ouvre moi. Addison pitié ouvre moi, je suis désolé vraiment désolé. Qu'est se que tu veux que je face pour me faire pardonner. je te jure je suis près a tout .

J'étais en train de griffer le bois de la porte, le suppliant de m'ouvrir. Je pouvais paraitre pour une personne soumise. En faite je méritais qu'il ne me parle plus. Je croit que si il ne ma parlais plus, se serais trop difficile pour moi. J'étais une vrai loque devants la porte. Un journaliste serait passer pars là et aurait mis en gros titre. L'ami des frère Kaulitz saoul devants une porte d'appartement. Je soupirais et dit:

Andréas Schlacher: - Adisson je t'en supplie ouvre moi.

Journée de m*rde. Andréas avait été insupportable aujourd'hui, invivable. Franchement, je ne comprend pas pourquoi c'est toujours à moi qu'il s'en prend. Il ne me semble pas être un si mauvais ami. Je n'ai pas l'impression de mériter ce comportement agressif envers ma personne. Andréas, je l'aime beaucoup, mais je ne sais pas si je vais pouvoir le supporter encore longtemps et le pardonner encore. Si encore c'était la première et seule fois... Mais malheureusement, ce n'est pas le cas et c'est fatiguant.

J'étais en train de fumer à la baie vitrée lorsque j'entendis frapper à la porte, puis la sonnette. Je décidais d'ignorer, qui que ça soit, je n'avais envie de voir personne.

« Je t'en supplie ouvre moi. Addison pitié ouvre moi, je suis désolé vraiment désolé. Qu'est ce que tu veux que je fasses pour me faire pardonner ? Je te jure je suis près a tout.

A chaque fois c'est la même chose. Je commence vraiment à me lasser. J'écrase ma cigarette et vais m'asseoir dans le vieux canapé en cuir de mon appartement. Je pose mes mains devant mon visage, respirant doucement pour ne pas perdre la tête. C'est rare que j'en arrive là, mais il m'énerve.
Je l'entendais griffer la porte, taper dessus. Il devais être ivre. Mais ce n'était plus mon problème.

- Addison je t'en supplie ouvre moi.

Je soupire, agacé et finit par me lever. Je ne peux décidément pas le laisser comme ça. Ca me coûte trop d'efforts d'essayer de l'ignorer. Je déverrouille la porte et lui lance un regard dur.

- C'est bon, entre, mais surtout, arrête de maltraîter la porte.

Mon ton était plutôt sec. Je ne voulais pas être gentil avec lui. Ca serait bien trop facile. Trop bon, trop con, y'en a marre. Je le laisse rentrer et ferme la porte derrière lui.

- C'est quoi ton excuse cette fois, hein Andréas ? T'as pas bientôt finit de me prendre pour un imbécile ? Je ne suis pas ton chien, bordel ! »

La porte s'ouvrit et je baissa la tête. Oui j'étais pas fière et surtout je m'en voulais. C 'était plus fort que moi. Pourquoi j'avais peur qu'on apprenne que j'étais son ami. Addison est une personne génial et il ne mérite pas ma colère.

Addison gates:- C'est quoi ton excuse cette fois, hein Andréas ? T'as pas bientôt finit de me prendre pour un imbécile ? Je ne suis pas ton chien, bordel !

J'étais comme un gamin devants lui. Je soupira et dit:

Andréas Schlacher: - pardon, je n'ai pas d'excuse je suis qu'un con.

Je le regarde et dit:

Andréas Schlacher:- Je vais faire des effort je te le jure. Je sais même pas pourquoi je suis comme sa avec toi. Je veux pas te perdre mais je ne me comprend pas moi même.

Je m'approche de lui et prend sa main et lui fait mon regard de chien battu et dit:

Andréas Schlacher:- dit tu me pardonne ?

J'aimais être près de lui qu'est ce que vous voulez. C 'est plus fort que moi. Je ferrais des effort mais en faite je les sentiments que j'avais pour lui était certainement plus forte que de l'amitié. Je ne pouvais pas me battre constamment contre mes sentiment et quand j'avais envie de lui avouez, je me m'était en colère contre moi et m'en prenait a lui.

Il me dit qu'il n'a pas d'excuse. Bien sûr qu'il n'en a pas ! Ca aurait été vraiment gonflé s'il en avait trouvé une. Je ne lui ai rien fait après tout ! Je ne peux décidemment pas comprendre pourquoi il est aussi méchant avec moi pour venir s'excuser comme ça juste après.

« Je vais faire des effort je te le jure. Je sais même pas pourquoi je suis comme ça avec toi. Je veux pas te perdre mais je ne me comprend pas moi même.

Franchement, s'il n'a pas envie de me perdre, il pourrait le montrer un peu mieux parce que là, j'ai vraiment des doutes. Il ne me semble pas que ça soit le but d'être méchant avec les personnes qu'on apprécie.

- Avec ton comportement, je vais finir par croire que tu me détestes pour de bon.

- Dis tu me pardonnes ?

Il m'a pris la main et me fixe avec un regard de chien battu. Je ne suis peut être pas sans coeur, mais il ne m'aura pas comme ça. Je n'ai tout de même pas la force de le repousser. Je soupire.

- C'est absolument.... Hors de question.

C'était dit. Je ne le pardonnerais plus. Je n'effacerais plus le tableau. En tout cas, c'est ce que je lui dis, mais au fond, je sais que je tiens trop à lui pour lui en vouloir indéfiniment. Je suis vraiment trop gentil des fois. Je déteste ce côté de ma personnalité.
Je m'éloigne de lui et m'assied sur le canapé, reprenant ma tête entre mes mains.

- Est ce que tu te rends vraiment compte à quel point tu es méchant et irréspectueux des fois, Andreas ? »

Je passe ma mains sur mon visage. J'en étais sur qu'il me pardonnerais jamais. Je le suivis et m'assis en face a lui. Je passe ma mains dans mes cheveux qui avais pousser. Puis j'écoute se qu'il me dit:

Adisson Gates: - Est ce que tu te rends vraiment compte à quel point tu es méchant et irréspectueux des fois, Andreas ?

Je baisse la tête, oui je m'en rend compte que je suis irrespectueux et j'ai envie de pleuré. Je le regarde et dit:

Andréas schlacher: - Je suis désolé.

Ma voix est cassé tellement je retiens mes larmes et je fini pars dire.

Andréas schlacher: - Pourquoi quand j'ai envie de te dire se que je rescends je suis coupé dans mon élan. Je m'énerve contre moi et je m'en prend à la seule personne que j'aime....

Je mit ma main sur ma bouche en voyant que j'en avais trop dit. Je n'étais pas bourré pourtant et je leva le visage vers lui et dit:

Andréas schlacher: : oublie se que j'ai dit j'ai pas envie de te perdre. Ne me rejette pas a cause de mes sentiment.

Je m'en veux de lui faire du mal comme ça, mais je veux qu'il comprenne que je ne suis pas une chose qu'il peut jeter comme ça pour venir récupérer le soir avec deux-trois mots ou un "désolé". J'entend très bien à sa respiration qu'il est sur le point de pleurer, je n'aime pas ça du tout. Je relève le visage et le fixe lorsqu'il s'excuse. Désolé, ça il peut l'être, c'est certain.

« Pourquoi quand j'ai envie de te dire se que je ressens je suis coupé dans mon élan. Je m'énerve contre moi et je m'en prend à la seule personne que j'aime...

Il semble surpris de ses paroles. J'écarquille les yeux moi-même. Je ne suis pas sûr d'avoir bien comprit ce qu'il m'a dit. Aurais-je mal entendu ?
La seule personne qu'il aime...

- Oublie ce que j'ai dit j'ai pas envie de te perdre. Ne me rejette pas a cause de mes sentiment.

Je soupire doucement. Je tire Andreas par la main et le prend contre moi. Je suis toujours assis sur le canapé et lui est à genoux en face de moi. J'ai ma main posée sur sa tête qui est centre mon torse. Je lui caresse doucement les cheveux.

- Ne pleure pas, je suis là. »

Je me sens un peu coupable d'un coup. Il m'aimerait et je n'aurais rien vu ? De plus, il me dit ça, mais il y a aussi Wendy qui ressent la même chose. Pourquoi le destin s'abat-il sur moi comme ça ?

Je me retrouva a genoux devants lui. Ma tête contre son torse, je ferme les yeux et laisse mais larmes couler. Je serra mais point sur son haut et je fini pars me calmer.

Adisson Gates: - Ne pleure pas, je suis là.

Je passe mes bras autour de sa taille et leva les yeux vers lui . Je ne savais pas que Wendy l'aimait sinon j'aurais tu mon amour pour lui. Wendy est mon ami et je ne veux pas le perdre. Je suis déjà en train de perdre Bill. Je me releve et me mets sur le canapé, enfin m'allongeant légèrement. Je posa ma tête sur ses genoux et dit:

Andréas Schlacher: -Je veux pas te perdre , ni toi , ni ton amitié. Mes c'est difficile d'être avec toi parfois. La journée, tu fait pas attention a moi et j'ai ton attention que le soir. Quand tu est près de moi, je me sens moi même et j'ai l'impression que tu peux soigner tout mes problème. J'ai perdu un de mes meilleur ami, je tiens pas a te perdre toi aussi.

J'enfuis mon visage une nouvelle fois contre son torse. J'aime sentir son parfum, c'est plus fort que moi parfois. Je me sens protéger près de lui mais j'ai envie de le protéger aussi. Je ferrais tout pour garder son amitié même a tuer mon amour pour lui.

Je ne suis pas trop à l'aise avec quelqu'un qui pleure. Et encore plus lorsque c'est une personne à laquelle je tiens beaucoup et que c'est de ma faute. Je fais de mon mieux pour ne pas avoir l'air coincé, mais c'est un peu difficile. Je suis gêné. Je lui caresse doucement les cheveux, je me sens un peu nerveux. Personnellement, niveau sentimental... Je suis un peu perdu. J'ai l'impression que tout va trop vite pour moi. En l'espace de quelques jours, deux personnes m'avouent m'aimer. Qu'en est-il de moi ? Je n'en sais rien. J'arrive même à douter sur mes sentiments pour Wendy.

« Je veux pas te perdre , ni toi , ni ton amitié. Mes c'est difficile d'être avec toi parfois. La journée, tu fait pas attention a moi et j'ai ton attention que le soir (...)

Je dois avouer que la journée, j'ai du mal à penser à autre chose que ma mère, ses coups de fils incessants, ses pleurs, je me pose des questions, je me demande si ça va. Je dois toujours chercher de l'argent, faire ci, faire ça. C'est vrai que ça fait un moment que je n'ai pas prêté attention à Andréas à un autre moment que lorsqu'il s'est retrouvé dans mon lit ou lorsqu'il se met dans des états pas possibles devant la porte de chez moi.
Je m'en veux..

- (...) Quand tu est près de moi, je me sens moi même et j'ai l'impression que tu peux soigner tout mes problème. J'ai perdu un de mes meilleur ami, je tiens pas a te perdre toi aussi.

- Désolé. J'aurais dut être un peu plus disponible pour toi...

Je me penche un peu sur lui et l'embrasse sur le front avant de poser le mien sur ce dernier. Je ferme un instant les yeux. Andreas est l'une des personnes auxquelles je tiens le plus en ce monde... Ca serait difficile pour moi de devoir renoncer à lui ou de le voir s'éloigner.
Je me redresse doucement, restant tout de même sur le canapé. Je lui caresse les cheveux avec une certaine tendresse.

- Je suis là pour toi. »

Je relevais la tête pour croisé son regard. Je soupira de bien être en sentant ses doigt dans mes cheveux. Ses lèvre sur mon front me brulait encore. J'avais plus envie que le jour reviennent. J'étais bien près de lui. Il se remit correctement en place, je m'étais légèrement soulevé pour ne pas être un poids pour lui. Puis je reposa ma tête sur ses cuisses et laissa sa main jouer avec mes cheveux. On aurait un chat tellement je me lovais contre lui.

J'avais pas fumer de cigarette depuis bien dix minutes et pourtant j'étais pas en manque. Puis je me leva et m'assis correctement. Je sors mon paquets de cigarette et passa ma main dans mes cheveux. Je sortit mon briquet et essaya d'allumer ma cigarette mais celui-ci avait l'air de ne plus avoir de gaz. Je posa celui-ci de nouveau dans mon paquets et je regarde addison et lui dit:

Andréas Schlacher: - Tu peux me passé ton briquet s'il te plais ?

Je le regarde et passe ma main sur sa joue. Puis m'approcha de lui. Ma cigarette à la main,je l'embrasse chastement sur ses lèvres et allume enfin ma cigarette. Je tira une taff dessus et me mit au fond du canapé. Je passe ma main sur ma cuisse. J'avais encore perdu du poid pas que j'étais anoréxique mais j'avais pas souvent le temps de me nourrir correctement. Je n'avais pas mangé non plus après ma journée de travail et était venu directement chez lui.

Lorsque Andréas me le demanda, je lui passa mon briquet sans discuter. Ensuite, il déposa un rapide baiser sur mes lèvres, mon coeur manqua un battement. Qu'est ce qu'il se passe ? Je reste un moment immobile et silencieux, laissant Andreas profiter de sa clope. Ca ne me gêne pas qu'il fume à l'intérieur, puisque je le fais assez souvent aussi. Après, il suffit d'ouvrir la fenêtre un peu de temps en temps.

Je soupire et me lève, je n'arrive pas à rester en place finallement. Je laisse Andreas tranquille et sort sur le balcon de mon appartement. Je ne ferme pas complètement la baie vitrée et me pose sur la barrière de sécurité. Je regarde le paysage, la ville. C'est peut être la ville, ici, mais ça n'arrive pas à la cheville de Chicago, la ville d'où je viens. D'ailleurs, Chicago me manque un peu. J'aimerais pouvoir y retourner, juste quelques jours. Pourtant, j'ai des tas de mauvais souvenirs là-bas, j'aimerais tant oublier. Mais après tout, j'ai toujours vécu là bas. C'est là bas que je me suis construit.

Je suis quand même bien content que Andreas ne sache pas grand chose de mon passé. Il n'est même pas au courant pour ma mère. Je ne lui ai jamais dit. Ce qui explique pour ou moins pourquoi il m'en veut de ne pas m'occuper de lui la journée. Il ne connait pas ma situation. Je ne lui laisse aucun indice qui pourrait lui permettre de me comprendre..

Je me retrouva seule dans le salon. Je finis ma cigarette et pars le rejoindre.
Je reste a la baie vitré et le regarde. Je reste comme sa un moment et fini pars dire:

- Je pense que je vais partir, je ne veux pas te déranger plus longtemps.

Mon coeur me hurlait de lui dire que j'avais envie de resté. De m'approcher de lui, appartenir encore pour une nuit. Alors que mon cerveau lui me dictait de ne plus rien faire. De partir le plus loin possible et surtout que je souffrirais encore plus. Pourtant, je fini pars écouté mon coeur et m'approche de lui. Je me blottit entre la rambarde et lui et baisse la tête. J'ai peur de croisé son regard. Je passe ma main sur mon visage et dit:

- Ah moins que tu accepte que je reste ce soir avec toi.

Ma voix était celle d'un gamin, cette voix ferrais rire n'importe qu'elle personne et surtout j'adorais la prendre quand je voulais absolument obtenir qu'elle que choses. Se qu'elle que choses était de lui appartenir encore une fois même si c'était la dernière fois. Certes j'étais un mec jaloux mais addison ne m'appartenais pas vu qu'il m'avait pas encore dit se qu'il ressentait pour moi. Puis j'avais peur de la réponse, alors que d'habitude je fonce la tête baisser.

Andreas apparait à la baie vitrée, il m'informe qu'il va peut être partir, il n'a pas envie de me déranger. Il ne me dérange pas, loin de là. C'est seulement qu'il me fait un instant pour réaliser et assimiler correctement ce qu'il m'a dit. Je me sens tellement perdu.
Au lieu de se retirer, Andy s'approche de moi. Il se posa contre la barrière, tout près de moi. Finallement, il me propose de rester. Je prend plutôt ça pour une demande pleine d'espoir pourtant, mon vis à vis baisser la tête comme s'il avait honte. Oui, peut être qu'il est gêné maintenant. Je dois avouer que je suis un peu mal à l'aise moi-même.

- Oui, si tu veux tu peux rester. Ca me ferait plaisir mais je ne t'y forcerais pas.

Je pose doucement ma main sur la joue et lui fait relever la tête pour le regarder dans les yeux. J'espère juste qu'il ne recommencera pas dès demain à être méchant avec moi. Maintenant que je sais pourquoi ça n'allait pas, j'espère que ça s'arrangera ou je devrais lui expliquer ma situation. Je n'en ai pas trop envie, à vrai dire. J'aimerais juste que ça aille, c'est tout. Je veux juste me débarasser de mes problèmes.

Je lui souris et me blottit contre lui. Oui j'étais une personne câline, oui je ferrais des efforts pour lui. Oui je l'aimais bon je ne dis pas que c'est l'homme de ma vie et que j'arriverais à être fidèle. je suis un mec qui ne tiens pas beaucoup c'est engagement. Bon quand je suis avec une personne j'essaye de ne pas trop le tromper mais temps que je suis comme célibataire je profite pour collectionner les relation amoureuse entre parenthèse.

Andréas: - Alors je reste si je ne te gènes pas.

Puis je me recule légèrement, certes je fait souvent les premiers pas mais j'en reste souvent simplement là. Sauf avec les filles mais les mecs m'impressionne plus que les filles. Bref j'adore être avec les deux sexe, bien quand ce moment je suis brancher plus mec que fille. Je passe ma main dans mes cheveux et je lui dit:

Andréas: Je vais me remettre en blond.

Oui vous me trouver bizarre, je fais comme si je voyais pas qu'il me cache qu'elle que choses. Puis je suis un mec jaloux mais pas fidèles que voulez vous je ne suis pas un mec parfais. Je suis fidèle en amitié, je peux pas être fidèles partout.

Prendre les devants et faire le premier pas, c'est loin d'être quelque chose qui entre dans mes habitudes. Je ne vais que rarement vers les gens, je préfère les laisser venir. Je dois avouer que si on n'attire pas mon attention ou que si on me demande rien, je ne vais rien faire par moi-même. Je n'y penserais, je n'imaginerais jamais. M'engager sérieusement avec quelqu'un n'est peut être pas quelque chose que je ferais dans l'immédiat. J'ai peur que ma mère le prenne mal ou que justement, je sois trop occupé pour m'occuper de ma compagne ou mon compagnon. J'aime autant les femmes que les hommes, mais c'est vrai que j'aurais plus tendance à m'amuser avec un homme et être fidèle à une femme. Mais après, je ne sais de quoi est fait mon avenir.

Sûr que si Andreas me délaisse complètement, je serais malheureux. Mais il n'en saura sûrement jamais rien.

Andy m'annonce qu'il va décolorer ses cheveux en blond, encore. Je souris en passant ma main dans ses cheveux, je les regarde. Je l'ai connu avec les cheveux blonds, mais pour être franc, je n'en ai plus beaucoup de souvenirs.

- Tu seras très beau.

Je descend doucement de la barrière - ça serait con que je tombe en arrière, n'est ce pas ? J'embrasse Andreas sur la joue et repasse la baie vitrée pour entrer.

- Tu viens ?

Je le regarde et je le laisse faire. Puis, je regarde. Il c'était lever et le jeune homme partait dans l'appartement.

Addison: - Tu viens ?

Je souris et je suis le jeune homme dans l'appartement. J'avais un peu froid et je ferma la baie derrière moi. Puis je me mis a courir pour me retrouver au niveau d'Addison. Puis j'attrapai sa mains et le suivit jusqu'à sa chambre.

Je lâcha sa mains qu'elle que minutes et je regarda sa chambre. Elle n'avait pas changé depuis la dernière fois et je fini pars attrapé sa main . Puis je l'attirai vers moi et dit

Andréas: - Je t'aime beaucoup mais je veux pas que notre relation aille plus loin que des nuit ensemble. Enfin si tu est toujours d'accord.

Je jouet avec mon labret gauche c'était un de mes tics quand j'attendais une réponse ou un contrat avec impatience.

- Je t'aime beaucoup mais je veux pas que notre relation aille plus loin que des nuit ensemble. Enfin si tu est toujours d'accord.

Je le regarde un instant sans rien dire. Je ne laisse jamais voir ce que je pense ou ressent. Je le fixe droit dans les yeux avec une expression neutre sur le visage. Au fond, je dois avouer que ses paroles m'arrangent. Ca aurait été difficile s'il m'en avait demandé plus.
Un instant plus tard, je hausse les épaules, nonchalant.

- D'accord.

Je lui adresse mon sourire dont je suis le seul à en avoir le secret. Je me lève en lui demandant de m'excuser un instant. C'est toujours la même chose, il le sait, j'ai des manies obsessionnelles qui se révèlent tous les soirs. Pour cela, Andreas est au courant. Je crois que c'est l'un de mes seuls "problèmes" dont il est au courant.
Je vérifie que mon armoire est bien fermée. Je la vérifie plusieurs fois avant de poser mon téléphone sur la table de nuit. C'est idiot, mais si je ne vérifie pas, j'ai tendance à angoisser.

Je reviens auprès de Andy, je prend une de ses mains et dépose un baiser dessus.

J'aime ses petite manie, il est adorable et puis c'est amusant de voir comment on s'y habitue très vite. Quand il reviens sur le lit il me prend la main et l'embrasse. Je me dirige vers lui. J'étais pied nu. Je dépose ma tête sur son torse et ferme les yeux. J'entends son cœur battre et sa me rassure.

Puis je passe ma main sur le ventre de mon vis à vis et fini pars me mettre a califourchon sur lui et dit :

Andréas N. Schlacher: - Tu veux faire quoi petit coeur ?

J'embrasse le bout de son nez, puis son front et enfin déscend sur ses lèvres. Je dépose un chaste de baiser pour croisé son regard et surtout attendre sa réponse. Puis je caresse ses cheveux. Bon j'avoue je suis un allumeur de première mais j'aime draguer surtout quand les personne me plaise énormément. Bon niveau sexe, je suis plus le dominé que le dominant mais parfois je peux prendre le dessus. Bien que je me retrouve souvent en dessous. J'aime être en dessous, c'est pas un crime d'être celui qui se retrouve dominer.

J'aime bien lorsqu'il est dans mes bras, sa tête contre mon torse. C'est pratique, même debout, il n'a même pas besoin de se pencher tellement il est petit à côté de mon mètre quatre-vingt-quinze. Pour une fois que ma taille ne me complexe pas... Sa main sur mon ventre me fait frissonner. Je dois avouer qu'elle est un peu froide.

- Tu veux faire quoi petit coeur ?

Je souris alors qu'il embrasse mon visage. Habituellement, je n'aime pas qu'on touche mon visage, mais dans ce contexte là, ça va. Comme lorsque j'ai voulu que Wendy l'imagine. Wendy... Non, c'est pas le moment de penser à lui. Je m'en préoccuperais plus tard. Parce que... Parce que.

- Sérieux ? Tu oses poser la question maintenant ?

Je pose mes mains sur ses hanches. Je le laisse gérer pour l'instant, mais il sait très bien que je ne resterais pas comme cela pour l'éternité. Je suis patient, mais pas trop non plus.

- Ca aurait été dommage que je te propose de regarder un dessin animé, n'est ce pas ?

Je souris et me mit a remonter son tee-shirt. J'embrasse son torse près de son nombril et dit:

Andréas N. Schlacher - Sa serais dommage. Bien que bambi est mignon mais il nous ferras pas passer le temps mon coeur.

Je remonte son tee-shirt et fini pars lui retirer. Puis embrasse de nouveau les lèvres de mon vis à vis.

Andréas N. Schlacher - Puis je risque de m'ennuyer et sa sera dommage.

Je caressait son torse et demanda en passant ma langue sur sa lèvre inférieur. Ma langue voulais aller jouet avec sa jumelle. Je bougea légèrement mon bassin pour l'excité légèrement. De quoi énerver une personne normal. Addison est une personne plus que spécial pour moi et voilà pourquoi je l'aimait. IL n'était pas comme les autre mec qui essayais de me mettre dans leur lit.

- Au contraire. Tu vois, quand on s'ennuie, on peut faire plein de choses pour essayer de combler,

souriais-je en remontant lentement le tee-shirt de Andreas.

Je prolonge le baiser qu'il m'offre, lui laissant sans trop de resistance, l'accés à ma bouche. Nos langues se mirent alors en contact et se carressèrent, se mêlèrent pendant de longues minutes. Andy faisait bouger son bassin contre le mien, peut être essayait-il de me faire sortir de mes gonds. Mais c'est sans oublier qu'il en faudra pas mal. Je suis du genre patient et pas forcément accroc au sexe. J'aime ça, bien évidemment, mais je peux vivre sans. Même si là, je dous avouer que Andreas me donne vraiment envie.

Je finis de lui retirer son tee-shirt et laisse tomber ce dernier sur le sol, à côté du lit. Je saisit mon, vis-à-vis par la taille et le fait passer en dessous de moi. Je l'embrasse sur les lèvres, le long de la mâchoire avant de descendre dans son cou, doucement. Je n'aime pas quand ça va trop vite. Alors je prend mon temps mais pas de là à être insupportablement lent.

Je me retrouva vite dessous. Je savais qu'il n'aimait pas la vitesse et je voulais qu'il prenne le dessus sur moi. Je sentis ses baiser. Je fermais les yeux et passe ma main dans ses cheveux. Puis il descendit vers mon cou. Je me mis a soupirer de bien être. Adisson me rendait complètement fou. Puis je caresse le cou de mon vis-à-vis et passe ma langue sur mes lèvre. Elle avait encore le gout d'Adisson. Mes mains se baladais dans le dos de mon vis- à- vis. Moi a côté de lui j'aimais le sexe. C'étais certainement a cause de trainer trop avec tomas ou d'avoir mon père en exemple. Il trompait facilement ma mère avec la première secrétaire venu.

Adisson était une personne patiente et avec lui j'apprenais le mot doucement. Il était une source de calme inépuisable et j'aimais me ressourcer avec lui. Je me mis à pousser un léger râles car sa allait trop doucement pour moi. Je caresse la joue de mon vis à vis et dit:

Andréas N. Schlacher:- Tu a raison mais je ne suis pas très patient. Apprend moi a être patient mon coeur.