Un droles d'endroit pour déprimer (pv tom)

Moi Andréas Schlacher est devenu la poupée des photographe, de mon agent et des plus grand styliste. Pour eux je ne suis qu'un de leur nombreux jouet. Si avant je ne déprimait pas sur mon sors c'est que Tom et Bill me soutenait. Oui j'avais pourtant l'air d'avoir un fort caractère mais je ne supporte plus la pression et surtout mon agent.

Aujourd'hui je suis sur le peins de craquer mais je ne veux pas que mes meilleur ami le sache. Pourquoi , parce que Tom doit s'occuper de Bill qui en a plus besoins que moi ? Fransisca doit s'occuper de son frère? Puis tout les trois on leur problème. Oui je m'enfonce dans la solitude tout seule. Je sais que j'ai des vrai ami mais vu que je suis leur ami. Je ne veux pas les enfoncer d'avantage avec moi. Puis comment il feront pour m'aider eux aussi.

Je suis dans ma chambre mais je n'arrive pas a réfléchir. Je voit tout ses paquets de cocaïne qu'on ma donner . Je n'en est jamais toucher et pourtant aujourd'hui elle me tente énormément. certes il en a un qui es commencer mais je n'en prend pas souvent seulement quand je commence vraiment à fatiguer. Puis en prendre trop serrais du suicide. je m'enfuis de ma chambre en courant comme un gamin. Je coupe devants une voiture mais ne voit pas qu'au volants c'est Tom.

Je tremble et j'ai envie d' hurler. Pourquoi moi, pourquoi on me fait sa a moi? Voilà les question qui trottine dans ma tête. J'arrive devants l'église et m'engouffre dedans. Je ne suis pas croyant loin de là mais c'est le seule endroit ou personne ne peux me retrouver. Je laisse mes larmes couler et me balance d'avant en arrière. Comme quand j'étais gamins face au dispute que j'avais avec mon père. je m'enferme de nouveau dans mon monde, dans se monde de souffrance. La ou quand j'étais adolescent je partait pour échapper à la dure réalité. je suis certes un mec drôles mais je cache bien ma tristesse au monde qui m'entoure.

Ce que je fais seul, dans ma voiture ? Excellente question.
La journée a bien commencé. J’ai câliné Bill pendant des heures et nous avons passé de longues minutes à rire comme des enfants. Par la suite, je me suis préparé et je suis sorti du loft. Mon jumeau a tenu à passer un petit moment seul alors pourquoi pas ?
J’ai donc prit mon chien et je suis monté dans mon 4x4. Pour le moment, je ne sais pas encore où je vais mais peu importe. Je vais rouler pendant quelques minutes et je finirais bien par m’arrêter près du parc. Cet endroit est vraiment super agréable. Dommage que je ne puisse pas m’y rendre aussi souvent que j’en ai envie. Les fans nous traquent beaucoup trop.

Finalement, quelques minutes plus tard, un imbécile passe devant ma voiture. Si je n’avais pas d’excellents réflexes, je lui aurai très certainement roulé dessus. Bordel, les gens sont vraiment inconscients parfois. Je fronce mes sourcils et passe ma main sur mon front « habillé » d’un bandeau noir. Je tente de reprendre mes esprits et fixe le mec qui court à vive allure. Andreas. Je soupire silencieusement et m’interroge sérieusement. Pourquoi est ce que mon meilleur ami se met dans ces états là ? Depuis quelques temps, nous n’avons pas réellement passé de temps ensemble et j’imagine que j’ai raté plusieurs évènements. Un long soupire s’échappe de ma bouche et j’enclenche la première vitesse avant de suivre Andreas. Celui-ci entre dans une église et je grimace légèrement. Ce n’est pas un endroit dans lequel je me rend habituellement & je me demande sérieusement pourquoi mon meilleur ami s’y engouffre. Quoi qu’il en soit, je ne perds pas plus de temps et me gare là où il y a de la place.

Mon chien attendra bien un petit peu. J’ouvre tout de même un tout petit peu ma fenêtre - pour lui laisser de l’air - et m’avance jusqu’à l’intérieur de l’église. Plutôt mal à l’aise, je glisse mes mains dans les poches de mon baggy. Je remarque la tignasse platine de mon meilleur ami ; un léger sourire étire donc mes lèvres et je m’approche tranquillement de lui. Une fois à ses côtés, je m’assois et passe ma main dans son dos.

-Andreas… ça va pas ? J’ai failli te rouler dessus mec, soufflai-je avant de ramener ma main contre mon torse.

Je soupire silencieusement et me penche un peu vers lui. Je n’aime pas voir les gens proches de moi, malheureux. J’ai l’impression de ne jamais avoir les bons mots pour les réconforter. & puis là, Andreas ne m’a rien dit de son état comme il l’aurait fait avant. Il est censé être mon meilleur ami non ? Pourquoi ne me dit-il donc plus rien ? Je grimace légèrement et étends mes jambes.

-Qu’est c’qui s’passe ?, demandai-je avant de lui sourire. Mon sourire se valait rassurant. J’espère donc sincèrement qu’il osera se confier à moi comme on le faisait auparavant.

J'étais seule dans se grand batiments quand une personne viens s'assoir à côté de moi. Puis je sens se parfum, ce parfum je le reconnaitrais entre mille. C 'est celui que Tom porte. Je relève mon regard dans sa direction et il dit:

Tomas Kaulitz Trümper:-Andreas… ça va pas ? J’ai failli te rouler dessus mec.

Je lui fit non de la tête pour lui faire comprendre que sa n'allait pas. Puis lève mes épaule en signe de sa aurait pas été une grosse pertes. PUis il dit :

Tomas Kaulitz Trümper:-Qu’est c’qui s’passe ?

J'avais légèrement calmer mes larmes et dit :

Andréas N. Schlacher:- Ils me prennent comme un objet, je en veux plus être l'un de leur objet. Je veux travailler comme avant et non être une de leur marionnette. Je veux plus vivre comme sa.

Oui cela n'était pas vraiment claire mais en faite je ne voulais plus être la marionnette de mon agent. Puis être le petit mannequin parfais comme il le désire. J'ai toujours tenu tête a mon père pour ne pas être son objet être le bon petit garçon. Celui qu'il veut que je soit et non celui que je veux être. Je laissais des personnes faire se que j'avais toujours refuser a mon paternelle.