*Ce soir il soupait avec ses parents, tout était silencieux quand son téléphone sonna, enfin son telephone, c’était celui de Greil, sa fourchette lui échappa des mains et manqua de s’étouffé quand il entendit Totgeliebt, son père le regardant d’une façon « vas-tu répondre ou pas ? », Gille tremblait, il avait oublié d’éteindre son Iphone, son cœur battait vite et fort, sans ses habits, sans son maquillage il ne se sentait pas apte a répondre et a endosser se rôle devant ses parents, eux même ne savait pas qu’il était Greil, il décida d’ignorer l’appelle et de continué à manger comme si rien n’était, mais comme toujours quand il fait allusion a Tokio Hotel c’est l’embrouille. Le culte que leur vouait Gille était un affront au rang de la famille, idolâtrer ainsi de banal adolescent venant des bas quartiers d’Allemagne n’était pas digne d’eux. Même rabaisser, Gille n’osait pas aller contre son père, il savait qu’au fond ses nons réponses énerverait davantage son paternelle, l’entendre rabaisser, dénigrer son groupe préféré lui faisait mal au cœur. Il avait déjà pas grand-chose pour être heureux s’il devait se séparer de la seul chose qui lui faisait vraiment du bien il sombrerait.*

*Il se leva, tête baissée et partit sans même avoir fini son assiette, bizarrement son père lui avait coupé l’appétit, Gille se sentait vraiment mal, aucune musique, aucune photo, rien a ce moment la ne pouvait le consoler, sauf peut être une personne, pouvait il arrivé a l’improviste chez lui ? Ne serait il pas occupé ? Gille se mordit la lèvre inferieur et demanda a son chauffeur de préparé la voiture et de le déposé chez Andréas, parler avec lui, l’avoir prés de lui l’aiderais à se calmer. Il était assez tard, il n’adressa ni mot, ni regard a son père et partit chez son ami. Pendant tout le long du trajet il s’était remis en question, peut être qu’Andreas voulait rester seul et tranquille, plusieurs fois il aurait voulu dire au chauffeur de faire demi tour, mais le voir lui ferai le plus grand bien. Il sortit, puis après un très long moment d’hésitation fini par éclater en sanglot devant la porte tout tremblant. Apres ce qu’il avait dit sur le groupe sur son blog, il chialait comme une fille devant la maison du meilleur ami de bill et tom si ce n’est pas être faux cul et malhonnête ca. Il se racla la gorge et sonna.*
" - Andreas.. S’il te plaît ouvre-moi…"
*Sa voix est tremblante, il mit ses mains devant son visage.*

Il était sur le point de s’effondrer devant la porte de la maison d’Andréas, ses disputes avec son père étaient de plus en plus fréquente et lui faisait horriblement mal, c’était de plus en plus éprouvant pour son cœur, il le supportait très mal et dans l’état dans lequel il était, il n’y avait qu’une seule personne qui pourrait le consoler. Il pleura de plus bel quand il vit Andreas ouvrir la porte, son cœur battait tellement vite, jamais il n’aurait cru qu’il pourrait être aussi triste. Il n’eu pas le temps de dire, ni faire quoi que se soit, qu’Andreas l’attrapa par le poignet pour le faire rentrer chez lui fermant la porte derrière eux.

Gille était encore sous le choque, toujours a sangloter jusqu'à ce qu’il le prenne tout contre lui, a ce moment la il ferma ses yeux, posant ses mains sur le torse d’Andreas serrant son tee-shirt entre ses mains, nichant son visage dans le creux de son cou. Il respirant doucement l’odeur qui émanait de son corps, le laissant le diriger, le guider jusqu'à salon. Gille le sentait lui caresser les cheveux en les balançant doucement, cela m’apaise et me calme grandement, il resserra davantage son tee-shirt entre mes mains en soupirant de bien être, il fini par complètement se calmer, mais il ne se décolla pas pour autant, il resta même blottit contre lui parce qu’il en avait besoin, cela lui faisait le plus grand bien.

« - Je me suis engueulé encore avec mon père… A cause de Tokio Hotel, il me trouve stupide de les aimer, d’allé a leur hôtel, d’allé a leur concert alors qu’i ne me connaisse pas, enfin, il veut m’empêcher de les voir et ca me fait peur, j’ai comme l’impression qu’on brise quelque chose en moi. Mon père ne cherche même pas à me comprendre… Ce que je ressens pour eux, pour leur musique ne se commande pas… Tu dois me trouver stupide..." *Il hésita un très long moment* "Andreas… Je peux dormir la ce soir ? Je peux dormir avec toi? » *Il ne bougea pas, il resta contre lui en prenant une profonde inspiration*

*Gille râla, sans vraiment le faire exprès quand Andreas cessa de les balancer, il prit le visage de Gille entre ses mains pour le forcer à le regarder. Rouge et gonflé, ses yeux d’un bleu azur ressortait, il essaya de sourire malgré les sanglots, mais il rala encore une fois, silencieusement quand Andreas le lâcha pour allé quelque part. Il déglutit en jouant nerveusement avec ses doigts, mais quel con, il avait déjà quelque chose de prévu et lui, l’obligeais a resté avec lui, quel égoïste. Il se mordait l’ongle de son pouce en allant dans la chambre de son ami. Il fit comme chez lui, il fouilla dans son placard de vêtement et chercha un long tee-shirt large d’Andreas, il s’en empara et le respira un moment avant de se déshabiller et l’enfiler.*

*Il retourna voir Andreas dans la cuisine, habiller d’un tee-shirt et d’un boxer, il entendit la conversation, son cœur se mit à battre, presque honteux, peut être qu’il n’avait pas envie de rester. Gille s’approcha et se glissa derrière lui, posant ses mains sur le ventre d’Andreas, collant son ventre à son dos et déposant un rapide bisou sur ca nuque en soupirant de bien être yeux clos. Puis il le lâcha pour se mettre à coté et regarder ce qu’il faisait.* " - Je suis désolé d’avoir fait capoter ta soirée." *Il se frotta les yeux, pour effacer les reste de larme*. "Si tu veux y allé je comprendrais, je rentrerais chez moi et je reviendrais plus tard." *Je renifle en baissant la tête rouge comme une tomate*. "Je peux avoir un verre de lait chaud s’il te plait ?" *Il jouait nerveusement avec ses doigts.*

*Il baissa la tête, se mordillant l’ongle du pouce pour dissimuler un petit sourire et le fait qu’il rougissait. Andreas a toujours été gentil avec lui, patient et a l’écoute de ses problèmes, des bras dans lesquels Gille aimait beaucoup se refugier et la, annuler une soirée pour rester avec lui, lui réchauffait vraiment le cœur, il ne savait pas comment le remercier, ni comment lui être reconnaissant de tout ses choses qui lui a apporté, Gille se sentait bien et surtout en sécurité chez et avec Andreas, il prit une profonde inspiration en soupirant de bien être, il était vraiment tout gêné.*

Pensée : il veut rester avec moi

*Il sursauta, surpris quand Andréa vint se coller a lui, nichant son visage dans le creux de son cou, Gille se cola davantage a lui entortillant une mèche de cheveux autour de ses doigts yeux clos. Un long frisson lui parcouru le corps en sentant le souffle de son ami tout contre sa peau, il râla quand le micro onde sonna et qu’Andréas dut se décoller et lui caressa rapidement la joue du bout des doigts quand il partit près du micro onde qui a sonné, il prit la tasse qu’on lui tendait et trempa ses lèvres dans le liquide bien chaud, rougissant violement en se regardant.*

" - Je t’ai piqué un tee-shirt, j’aime bien ton odeur, tu sens bon, tu ne m’en veux pas j’espère "*Dit-il d’une toute petite voix douce, en fuyant son regard assez embarrassé, il se permettait de s’inviter chez lui, maintenant il lui piquait ses affaires, Gille était gêné et mal a l’aise, l’impression d’être un boulet et un poids pour Andréas. Arrête de dire n’importe quoi, tu dis que des bêtises. Il lui tourna le dos, un compliment, il était rouge comme une pivoine si ce n’était pas plus. Certes il rougissait pour rien, il ouvrit sa bouche puis la referma en baissant la tête jouant avec la tasse entre ses mains.*

Ca te va bien aussi. *Il se sentait un peu stupide*

Pensée : Tu es beaucoup plus mignon avec très peu de vêtements sur toi.

Je souris et fini de boire mon thé. Quand il me dit que sa m'aillas bien aussi je me mit légèrement a rougir. Heureusement que la tasse me cachais légèrement sinon je serrais dans une mauvaise position. J'aimais pas qu'on me face trop de compliment mais en plus j'aimais pas non plus mon cœur. Celui ci s'emballais d'un rien pour deux personnes. Je posai ma tasse dans levier et dit :

andréas: - Tu fais comme chez toi .

Puis je pose mon regard sur lui et lui souris. Puis je me mes contre la table de travail regardant ailleurs. J'étais partit dans mes penser encore une fois et celle ci se bousculais plus que tout. Puis je reposai mon regard sur le jeune homme et lui demanda:


andréas: - Tu voudrais pas habité avec moi ?

Oui sa faisais pas mal de temps que je recherchais un colocataire mais je ne trouvais pas.

*Andreas devait le trouver chiant et ennuyant, il parlait peu, pour ne pas dire pas, il n’avait aucune conversation, il avait vraiment l’impression d’être un poids, puis Gille n’était vraiment pas du genre a quémander de l’attention, de l’affection, des câlins ou des bisous, même s’il en voulait, même s’il en avait besoin, il ne disait absolument rien, dure pour lui de demander, peur qu’on lui dise non, qu’on l’envoie chiez, peur de déranger tout simplement, il était vraiment très complexe. Gille faisait tourner la tasse dans ses mains, ne sachant vraiment pas quoi dire, la portant de temps à autre à ses lèvres pour en boire une gorgée, il n’osait pas trop regarder Andreas par peur d’en être niais. La tasse lui échappa des mains et s’éclata par terre quand son ami lui proposa de vivre avec lui, il le regarda horrifié.*

« - Je..Je.. Je.. Suis désolé, Je..Je.. Je vais nettoyer ». *Il se baissa pour ramasser les bouts de porcelaine, tellement perturbé il ne fit vraiment pas attention qu’il s’était entaillé profondément le doigt et que ca pissait le sang. Il pensait a ce que venait de lui proposer Andreas et surtout comment allait il faire pour Greil. S’il vivait avec lui, il devait disparaitre pour pas qu’Andreas sache le monstre qu’il était. Pourtant il voulait vivre avec lui il en avait marre des disputes avec son père, mais il ne voulait pas arrêter Greil pour autant. Il épongeait le lait éparpiller par terre, rouge comme une pivoine, une question lui brulait les lèvres.*

« -Ca ne serait qu’une collocation ? Ou c’est parce que tu voudrais plus ? »
*Il devina encore plus rouge, posant ses mains sur sa bouche, comment avait il pu demander ca ? Il regrettait ses paroles, qu’elle était le pourcentage de chance qu’Andréas s’intéresse a lui ? Il eu envie un instant de s’éclater la tête contre le carrelage, tellement qu’il avait honte.* "J’aurais pas du dire ca, excuse moi Andréas." *Il se mordillait nerveusement l’ongle de son pouce.* « J’aimerais bien vivre ici avec toi… » *Dit il sur un ton hésitant.*

Je me dirige vers lui quand j'aperçois du sang coulé de sa main. Je lui prend la main et dit:

Andréas: laisse moi faire.

Je finis de ramasser se qui reste pars terre et les jettes dans la poubelle. Je prend un torchon et le mets sur le doigt de gille et le sers pour arrêter l'hémorragie. Puis il dit :

Gille: -Ca ne serait qu’une collocation ? Ou c’est parce que tu voudrais plus ?

Je piqua le far de l'année, j'étais plus rouge qu'une tomate bien mûr. Je me mordit la lèvre inférieur et je baissa le regard. Oui j'avais envie d'avoir plus qu'une simple collocation avec lui. Puis il dit :

Gille:- J’aurais pas du dire ça, excuse moi Andréas. J’aimerais bien vivre ici avec toi…

J'avais toujours la tête basse mais j'étais tous près de lui. Je fini pars dire , je pensais l'avoir dit tout bas mais en faite j'avais parler a haute voix.

Andréas; - Je veux plus qu'une collocation moi .

Quand je me rendit compte que je l'avais dit tout haut. J'enfouis mon visage dans son cou. Je m'en rendait pas compte mais il est vraiment plus grand que moi. Je dis contre son épaule de peur qu'on voit mon visage.

Andréas; Tu veux bien venir dormir quelle que fois à la maison , avec moi. Je veux pas rester seule et puis .....je t'aime.

Je disait je t'aime vraiment trop facilement heureusement pour moi Gille ne savait pas que mon cœur était partager avec deux autre personne en plus de lui. J'étais certainement câlin et tout les trois était différent. Gille était la douceur et surtout la timidité que je recherchait chez une personnes.

*Andreas l’aida à ramasser le reste de la porcelaine et a nettoyer, puis il s’empara de al main a Gille et enroula une serviette autour de sa main, c’est la qu’il ce rendit compte qu’il s’était blessé. Il entendait son cœur battre dans sa têtes, Andreas était doux et affectueux, comment ne pas fondre, il serra doucement la main de son ami dans la sienne en souriant vraiment faiblement. A ses 2 questions pour les moins déplacées, Andréas pris une teinte rouge pivoine, dans ce cas ils étaient 2 embarrassés. Il était paniqué face a cette révélation, pour une fois que quelqu’un voulait de lui il ne savait vraiment pas du tout comment réagir, son cœur battait super vite et super fort sur le point de faire une crise cardiaque. Il était complètement perdu, tête baisser il tremblait légèrement et sursauta quand il sentit Andreas dans poser sa tête dans le creux de son cou.*

*Il ne bougea pas, il ne réalisait pas encore la situation et ce que venait de lui dire son ami, ami ? Petit ami ? Il n’en savait rien ?* « - C’est une blague ? C’est pour te moquer ? Ou tu es sérieux ? » *Il avait déjà peur de s’engager, mais la avec Andréas c’était un rêve qui se réalisait, ca lui aurait fait pareil si bill et tom l’avait invité a mangé chez eux, mais il en restant pas moins suspicieux.* « Si j’habite chez toi, forcement je dormirais ici et il est or de question que je dorme tout seul ». *Dit il d’une toute petite voix presque inaudible, il avait bien entendu Andréas lui dire « je t’aime », mais il ne voulu pas s’y attarder par peur qu’il ne le pense pas vraiment, en faite c’est ca qu’il redoutait le plus dans l’amour, la sincérité, il souffrait déjà suffisamment d’être comme il est, rajouté les problèmes de cœur serait pour lui un cercle vicieux et une spirale sans fin.* « Tu vas me faire du mal ? » * il jouait nerveusement avec ses doigts lui aussi, il avait tellement peur de souffrir, pourtant fallait croire qu’il aimait ca, il donna un petit coup de tête affectueux a Andreas quand il eu la tête levé il lui déposa un très rapide tout petit bisou sur les lèvres* « J’ai peur Andréas, je… Je… Je n’ai jamais eu de copain, ou de copine, je ne sais pas ce que je dois faire, ni comment m’y prendre, je vais être maladroit et tu me détesteras » *Tellement pris par Tokio Hotel, ni lui, ni Greil n’avait eu le temps de se consacrer a ce genre de chose, c’était nouveau et cela l’effrayait*

OUI je ne blaguais j'aimais cette homme autant que deux autre. Bon sa j'aurais du mal pour l'instant à le lui dire. Je ne voulais pas le perdre.

Gille Laslow:- C’est une blague ? C’est pour te moquer ? Ou tu es sérieux ?

Andréas N. Schlacher: - Non je ne blague pas je t'aime énormément Gille. Je te le jure sur ma vie.

Gille Laslow:- Si j’habite chez toi, forcement je dormirais ici et il est or de question que je dorme tout seul.

Je souris contre lui ne remontant pas mon visage. J'étais tellement bien contre lui et je dit


Andréas N. Schlacher: - NOn tu dormira avec moi. l'autre chambre est prise pars un ami qui s'appelle Aiden. Il n'est pas la aujourd'hui mais je veux plus te voir triste alors si tu viens dormir ici tu ne sera plus jamais triste.

Je serrai son tee-shirt enfin mon tee-shirt qu'il portait m'approchant de plus en plus de lui. Collant mon bassin contre ses hanche. Mon coeur loupa un battement quand il dit que je vais lui faire mal. je risque oui de lui faire mal, si il apprends que je sors avec d'autre mec. Que je ne suis pas fidèle. Devrais- je être fidèles mais c'est plus fort que moi. Je baissa la tête comme un gamin pris en faute. je ne veux pas lui faire de mal. Je leva légèrement la tête et ferma les yeux sous ses geste affectueux.

Gille Laslow:- J’ai peur Andréas, je… Je… Je n’ai jamais eu de copain, ou de copine, je ne sais pas ce que je dois faire, ni comment m’y prendre, je vais être maladroit et tu me détesteras.

Andréas N. Schlacher: - Tu te débrouille déjà bien pour un débutant. On ira à ton rythme mon cœur je ne te forcerais jamais a faire se que tu n'as pas envie.

Je recommençait a sentir la fatigue de la journée et je faillis m'écrouler pars terre. Heureusement que je me trouvais contre Gille et que je réussis a me retenir a lui. J'espérais qu'il n'est pas sentit mon coup de fatigue.

*Il lui avait juré, personne ne devrait jurer sur sa vie, sauf s’il était sérieux, il aurait pu sourire, mais Gille avait bien du mal à le croire, qu’est ce qu’Andreas pouvait bien lui trouver ? Il se mordilla doucement l’ongle de son pouce, il avait tellement espérer entendre ces mots sortir de la bouche de quelqu’un maintenant qu’il peu les entendre cela ne lui fit rien, enfin si il était confus, mais il n’arrivait pas à y croire.*

« - Oui en faite tu m’apprécies juste énormément ce n’est pas de l’amour »

*Dis je très doucement presque déçu, il n’osait pas le serré contre lui jamais son ongle n’avait été aussi savoureux, c'était une carapace pour se proteger de la souffrance. Andréas mentionna le prénom d’Aiden, Gille faillit s’étouffé en avalant ma salive de travers. Il ne le connaissait pas, mais il savait a quoi il ressemblait, allez savoir pourquoi il eu soudainement les larmes aux yeux et cacha son visage pour pas qu’il le voit.*

« - Tu as un colocataire sexy et c’est moi que tu choisis ? Explique moi je ne comprends pas, vous avez déjà… »
*Il ne termina pas sa phrase, il avait les joues rouges il était persuadé qu’Andréas avait compris ou il voulait en venir, il frictionna ses bras.*
« - C’est vrai ? Tu me le jure ? Je ne veux pas que tu me fasse de fausse promesse »
* Trop de fois il avait été déçu par des promesses faite qui n’on pas été tenu, marre de se prendre des claques dans le visage. Gille pris une profonde inspiration quand il sentit le bassin d’Andréas contre le sien, son sexe pressé contre son ventre. Gille vira au rouge, son cœur battait si vite, ses lèvres, sa gorge était sèche, il avait un nœud a l’estomac tremblant contre Andréas, Gille secoua la tête, essayant de garder le plus possible son calme, ne pas se laisser perturber par son ami*

« - Je vais te faire trop attendre, je n’oserais jamais, si tu ne prends pas d’initiative, je n’en prendrais pas » *Il rigola nerveusement* « Tu ira voir ailleurs avant, tu ne seras pas patient personne ne l’a été avec moi, oh je me suis fait une raison tu sais, te force pas a être gentil » *Il lui sourie, en essayant de cacher au maximum la peine qu’il ressentait a ce moment la, il lui caressa doucement la joue* « En tout cas ton copain en aura de la chance de t’avoir» *Il fini par ce décollé et se levé en lui tournant le dos, ses larmes si durement retenues finirent pas couler, il en avait gros sur le cœur, main sur son visage il partit dans la salle a manger pour pas qu’Andréas le voit, l’entende sangloter, il renifla doucement, cherchant un mouchoir*

Voilà j'en était sur, il tient à moi et je le ferrais trop souffrir. Je soupira surtout quand il partit loin de moi. Oui aiden et moi on couchait ensemble. Oui je l'aimais bien aussi mais moins que Gille enfin je le pense. En faite tout les deux son différent. Hystéria Aiden est comme moi, il aime la fêtes et surtout le sexe. J'aime aussi la jalousie d' Aiden. Je fermai qu'elle que seconde les yeux et finis pars me diriger vers le salon. Je pris un mouchoir qui se trouvais dans l'armoire a pharmacie et le tendis au jeune homme.

Andréas N. Schlacher: - Quand tu seras fatigué rejoins moi, je vais me coucher. Je te laisse réfléchir sur se que je t'es dit. Je t'aime et sa je ne te mentirais jamais. Je ne te forcerais pas pour se qui est de presser notre relation, on ira a ton rythme. Je suis le genre de mec a m'envoyer en l'air avec des inconnus mais je fais l'amour qu'avec les personnes que j'aime. Si une personne que j'aime vraiment me demanderais d' arrêter de sortir avec des mecs. J'essayerais de le faire pour lui. Je vais me coucher. Bonne nuit mon ange.

Je partis en direction de ma chambre et je m'écroule sur mon lit. Je retire mon tee-shirt et m'allonge en position de fétal. Je laisse couler mais larmes parce que je me sens un monstre d'aimer plusieurs personne en même temps. Je suis vraiment un monstre ou peux être que je ne suis pas normal.

*Il fonda complètement en larme quand il se retrouva seul dans le salon, trop d’émotion pour mon petit corps d’1m70, il n’en pouvait plus c’est dure, il sanglotait plutôt bruyamment, il n’avait jamais autant tremblé, il commençait d’ailleurs a avoir du mal à respirer, il avait a nouveau ses crises de spasmophilie, il s’arrêta en respirant fortement par la bouche main sur le cœur. Au moment ou il se retourna il tomba nez a nez avec Andréas qui lui tendit un mouchoir, ses larmes coulèrent encore plus a flot en prenant le morceau de papier, il essuya ses yeux et se moucha et écouté ce qu’il avait à lui dire.*

*Sans s’en rendre compte, par ses mots, il lui avait fait encore plus de mal. Il l’aime, mais il s’envoie en l’air avec le premier venu ? Ce n’était vraiment pas de cette façon que Gille avait imaginé sa vie de couple. Ca bouche tremblait tellement sous l’émotion, qu’il en claquait des dents. Il n’osait rien dire, il venait sur le moment de regretter d’être venu, ses mots le transperçait comme des poignards et baissa la tête*.
Pense : Je ne veux pas être un parmi tant d’autre que tu viendras voir que quand ca te chantera.
*Mais il n’osera pas lui dire, peut être qu’au fond Gille n’avait qu’a lui demander d’arrêter tout ca, d’arrêter d’être volage pour se concentrer que sur lui. Il ne supportait le savoir, l’imaginer entre les draps, dans les bras de quelqu’un d’autre. Il sera les poings un mélange de tristesse et de colère il ne dit rien d’autre, laissant Andréas monter se coucher, oui Gille était jaloux, il ne voulait pas qu’il aille voir ailleurs, il voulait garder Andréas que pour lui mais jamais il n’osera lui demander de plus être une salope et de garder son cul, sa queue dans son boxer, il marcha silencieusement jusqu'à la fenêtre en jouant avec le mouchoir. Il s’assoit par terre s’allongeant dans la position du fœtus puis fini par s’endormir, il avait trop pleuré, Gille avait très mal a la tête, il tremblotait parce qu’il avait froid.*

Je me leva pendant la nuit et trouver Gille allongé dehors pars terre. Je le pris dans mes bras et le mit dans le lit. Puis je retourne dans le salon et fume une cigarette. J'attendais juste qu'un mec me demande d'arrêter d'aller voir ailleurs. Je l'aurais fait si Gille me le demandait. Je fini pars me rendormir sur le canapé et me réveil super tard le lendemain. Je me dirigea vers la cuisine et prépara deux petit déjeuner. Je ne toucha même pas au moins tellement je me dégoutait moi-même.

Je fini pars aller dans ma chambre et emmena un plateau avec le petit déjeuner dessus à Gille. Puis je l'embrassa sur les lèvre légèrement. Je caressa sa joue et allait me lever. Je n'arrivais pas à décoller mon regard du jeune homme. Puis je murmure en croyant qu'il dormait encore. Vu que j'avais les yeux fermer, je n'avais pas vu qu'il avait ouvert les yeux.

Andréas N. Schlacher: - Si tu me demande d'arrêter de m'envoyer en l'air. je le ferrais rien que pour toi mon ange. Je suis désoler de pas être l'homme parfais. Je voudrais être comme Bill parfois pour ne plus faire souffrir personne et surtout ne plus te faire souffrir. Je mérite pas de t'avoir.

*Andréas savait très bien comment Gille était, qu’il n’était pas du genre à demander, exiger quoi que se soit des autres, certes il l’aurait mal vécu de savoir Andréas avec pleins d’autres personnes, mais jamais il n’aurait dit quoi que se soit, c’était ainsi son caractère il ne pouvait rien y faire. Plus tard dans la soirée, Andréa était descendu, trouvant le jeune garçon allongé par terre, il n’avait pas osé monter, toujours l’impression de faire chiez son ami a toujours pleurer. Andy le souleva du sol, Gille se réveilla sans vraiment se réveiller il était dans un état de somnolence, endormi, mais conscient, il s’agrippa a une chaine autour du cou de celui-ci parce qu’il ne senti pas de tee-shirt ou s’accrocher, pressant sa tête contre son torse.*

Ne me laisse pas

*Murmura-t-il dans une voix quasi inaudible tellement qu’il était fatigué. Il le déposa dans un lit, Gille se mis sur le ventre la main posé sur l’autre oreiller, Andréas était déjà redescendu, il tata l’oreiller en râlant il se redressa en se frottant les yeux qu’il avait vraiment du mal à ouvrir*

Andréas ?

*Il n’y avait rien ni personne, Gille frictionna ses épaules et se rallongea pour se rendormir. Le lendemain, il n’arrivait vraiment pas à se réveiller, le fait de s’être couché tard, de pas avoir arrêté de pleurer, le levé a été vraiment très dur. Il entendit la porte de la chambre s’ouvrir, il n’ouvrit pas les yeux le laissant le temps d’émergé, Andréas le fit un petit bisous sur la bouche, Gille poussa un profond soupir de bien être en esquissant un faible sourire, il ronronna doucement en sentant la main de son ami lui caressé la joue et fini par ouvrir ses yeux, quel agréable réveil, Andréas n’a pas du voir qu’il s’était réveillé il commença alors de petites confessions qui des le matin lui fit battre le cœur vraiment très fort, il se redressa les cheveux en bataille.*

" - C’est vrai ? Tu ferais ca pour moi ?" *Il ne pouvait pas encore définir ce qu’il ressentait au fond tellement qu’il était heureux.* "Il ne faut pas me faire ce genre d’engagement si se n’est pas pour le tenir. Tu sais que ca va être dur" *Il s’avança doucement, marchant a 4 pattes sur le matelas et le pris dans ses bras en le serrant fort, s’asseyant sur lui, les jambes enroulées autour de son bassin.* "Tu sais bien que ce n’est pas le genre de chose que je t’aurais demandé, j’aurais attendu que ca vienne un jour ou l’autre de toi. J’en aurais souffert de te voir chaque nuit avec une autre personne mais je t’aurais laissé vivre ta vie sans rien dire." *Il nicha sa tête dans le creux du cou de son ami en respirant l’odeur qui s’en dégageait.*