Lorsque je suis sorti de la salle de concert j'ai été me réfugié dans le tour bus de Gustav et Georg pour ne pas avoir la torture dans sentir son parfum à peine j'aurais passer la porte. Le problème du tour bus de Gustav et Georg...c'est qu'il est à Gustav et Georg et que donc pas concéquant l'un des deux peu débarqué un peu n'importe quand. c'est ce qui c'est passé, et Georg ma trouver en larme sur un coin de couchette. Pour une fois il m'a pas charier ni rien il la jouée calme et gentil il a même réussit à me faire dire la vérité, toute la vérité. je sais pas comment il à fait entre nous. Mais...c'est Georg ma fois.

A vrai dire je lui ai demander si je pouvais rester dans le tour bus cette nuit. mais Il refusa. me disant que Tom devais sans doute être mort d'inquiétude étant donné qu'il est plus d'une heure du matin. Ouais enfin c'est relatif quand même. Tom mord d'inquiétude..Ouais, non c'est clair il me trompe et il et mord d'inquiétude c'est logique. J'ai...l'impression aujourd'hui d'avoir perdu un truc essentiel a mon cour un truc en moi c'est briser concernant notre relation...et j'ai bien peu que se soir la confiance...J'ai toujours eus une confiance aveugle ne lui. Pour moi lorsqu'il me disais quelque chose ça ne pouvais être que la vérité. Et là, j'ai eut l'impression de me ramasser un TGV dans la gueule. C'est le deuxième fois en assez peu de temps que je me sens aussi..humilié a rabaisser. mais en plus là je suis...trahis et cette fois j'ai même pas chercher à être humilié. la dernière fois dans notre tour bus, j'avais un peu chercher. mais là la seule erreur que j'ai fait c'est de ne pas rester avec lui aujourd'hui.

Je soupire en me mettant dans les bras de Georg alors que Scotty commence a grogner ce con il a fin. les autres ils son tout calme et tout mais il y a que lui pour foutre sa merde et me forcer à rentrer. Toutes façon c'est pas un chien se truc c'est un ventre sur pattes. je soupire alors que le bassiste m'aide à me lever. Il me propose de me raccompagner, mais je fais non de la tête. Avec les chiens c'est compliqué. Avant de se quitter je le remercie de son soutiens et je m'en fais. Putain il flotte toujours. je suis juste gelé, et la pluie ça me fait pleurer...Donc c'est limite en larmes que je marche vers la maison, Scotty me tire. Si ça se trouve il y aura personne parce que Monsieur aura décider de me faire cocu jusqu'au bout. Il y a encore cinq heure j'aurais jamais imaginé penser ça. Mais...maintenant...je en sais plus ou faire confiance.

En arrivant au pied de l'immeuble je lève la tête et vois, par la baie vitrée que c'est allumé partout. je soupire. et monte dans l'ascenseur introduisant ma clé pour monté jusqu'au dernier étage. En arrivant les chien se précipitent tous sur Tom et moi bah j'enlève ma veste, je suis tout simplement congelé je tremble de partout et je suis tout mouillé. J'évite même de le regarde putain il m'a dit qu'un "désolé je t'expliquerais" Il n'y a rien a expliqué il m'a trompé, c'est tout. . Je montre directement dans notre chambre ou je prends mon oreiller et mon doudou que personne en vois jamais parce qu'ile st sou mon oreiller puis je me rend dans mon ancienne chambre ou il y a juste un espèce de sofa. Vu que c'était n dressing maintenant. je trouve dans une armoire une couverture, et après avoir retirer mes vêtement tremper et avoir enfiler un bas de survet et un gros sweet je m'enroule dans le couverture et m'allonge sur le sofa en serrant fort Mr. Partapouf qui n'était autre que mon doudou. je n'avais pas allumé la lumière pour faire out cella. et ne me couchant je remarquais que j'étais droit en face du miroir qu'il était éclairé par la lune ce qui fait que mon reflet était particulièrement blafard. Je me suis alors rendu compte que j'ai oublier d'aller me brosser les dents et de me démarquiller. et que mon eye liner avec coulé le long de mes joues....Et comme mes cheveux était mouillé je vous parie n'importe quoi que demain j'ai un rhume. Mais sincèrement là...plus rien n'a d'importance je voulais juste que...cette journée ne soit qu'un affreux cauchemar.

Mais j'entendis bien vite la porte du Dressing s'ouvrir et la lumière chaude de l'entrée n'eut qu'un seul effet celui de m'eblouhir. je grimace en resserrant la couverture et ma peluche contre moi je ramène alors mes genoux contre moi pour me retrouvé en position foetale.

Autant être honnête, si Bill m’avait fait un coup pareil, je ne me serais absolument pas énervé mais je l’aurais quitté. D’ailleurs, j’imagine que c’est ce qu’il va faire d’ici peu. Quand nous nous retrouverons, je suis persuadé qu’il va mettre un terme à tout cela, et qu’il ira même à l’hôpital pour avorter. Je l’aurais mérité… mais je n’en avais aucune envie.
J’aime énormément mon petit frère et j’ai vraiment la volonté de faire avancer notre couple. Malheureusement, j’ai fait un faux pas. Un seul. Celui de trop.

Après que Bill soit parti de la salle de concert, je suis restée un moment avec Fransisca. Nous avons longuement discuté mais je ne me suis pas permis de lui avouer que je couchais avec mon jumeau. Aurait-elle comprit ? Cette jeune femme est ouverte d’esprit mais… une nouvelle comme celle-ci pourrait facilement choquer. Et puis, je suis quand même Tom Kaulitz, le mec qui a cette réputation de Dom Juan. L’idée que je couche avec un garçon n’effleure très certainement aucun esprit.
Quoi qu’il en soit, je suis rentré en fin d’après-midi et j’appréhendais vraiment de retrouver Bill. Heureusement - ou pas - il n’était pas là. Ainsi, j’ai tourné en rond toute la journée en me posant beaucoup de questions. Est-ce que je lui envoie un message ? Est-ce que j’essaye de l’appeler ? Mais non, je n’ai absolument rien fait et je me suis contenté d’attendre.
Les heures passaient d’ailleurs trop lentement à mon gout.

Vers une heure du matin, j’entends du bruit dans l’entrée. Inutile de dire que je me suis inquiété comme un fou.
J’attends de voir s’il vient vers moi, au moins pour m’engueuler, mais rien. Bill se contente de se diriger vers la chambre et je soupire profondément en regardant les chiens. Ceux-ci sont trempés mais je prends tout de même le temps de les caresser gentiment. Les pauvres n’ont rien fait alors je ne dois pas m’en prendre à eux. Finalement, je vais me laver les mains et les essuie avant de me rendre dans ma chambre. J’aurais du le deviner ; mon jumeau ne voulait plus dormir avec moi. Qu’à cela ne tienne… Je ne vais pas le forcer.
Mon cœur bat rapidement et j’ai vraiment peur de la suite mais ce n’est pas en restant chacun dans notre coin que nous allons faire avancer les choses. Je me rends donc dans son ancienne chambre et allume la lumière. Bill se recroqueville mais je n’y prête pas attention et me glisse derrière lui, sur le canapé. À vrai dire, j’avais prit ma douche il y a quelques heures déjà, et je n’avais enfilé qu’un survêtement ; je suis torse nu. Je passe mon bras autour de mon petit frère et me colle doucement contre lui avant d’embrasser ses cheveux mouillés. Oh, j’imagine qu’il va essayer de me repousser ; et c’est pour cette raison que je le tiens plutôt fermement - tout en faisant attention à son ventre.

-Quand j’suis arrivé dans la salle de concert, j’étais seul. C’était pas prévu que Fransisca soit là… mais elle est arrivée et on a commencé à faire les cons. J’veux dire… on s’est fait une sorte de bataille d’eau tu vois et ça a dégénéré. J’ai retiré mon t-shirt moi-même et elle a fait de même avec le sien… Bill, ne crois pas que c’était prémédité, soufflais dans le creux de son oreille.

Évidemment, je sais que mes mots n’auront aucun effet positif, mais il fallait qu’il sache toute la vérité. Mes doigts touchent son ventre, par-dessus le sweet, et je soupire silencieusement tout en mordillant ma lèvre inférieure.

-J’suis désolé Bill, vraiment. Je sais que… j’t’ai déçu, et je comprends ça. Mais…, dis-je avant de marquer une pause.

Pendant ce temps, je me redresse doucement et appuie sur l’épaule de Bill pour qu’il se retrouve allongé sur le dos. Je passe au dessus de lui et plonge mon regard dans le sien. Mon pouce essuie les traces de maquillage qui coule le long de ses joues et je me pince les lèvres. Tout ceci est de ma faute. Je souffle silencieusement et hoche la tête négativement.

-Dis moi quelque chose. Insulte moi, frappe moi, mais reste pas comme ça. J’ai… j’ai pas couché avec elle. Bill…, soupirais-je en baissant mes yeux.

Dormir avec lui...non c'est vraiment pas une bonne idée. J'ai pas envie de le quitter je pense que ça me ferais plus mal qu'autre chose et puis je suis pas une de ses enflure qui va tout aller raconter à Gustav juste pour le plaisir de voir mon frère avoir mal. je ne dirais rien et Georg ne dira rien. mais moi bien sûr. je refuse de continuer cette relation sur c'est pour flipper à chaque fois que je ne suis pas avec lui et qu'il est seul. je suis déjà assez paranoïaque comme ça, si en plus on en rajoute une couche avec Tom ça va vraiment pas le faire. Et puis...même si soit dit en passant même si nous nous séparons j'ai pas l'intention de tuer notre bébé. je l'aime et puis il sera la dernière chose a quoi me raccrocher que Tom s'en va. Enfin je dis ça mais je sais que je tiendrais jusqu'à sa naissance car sa vie dépends de la mienne jusqu'à ce moment là, mais après, si j'ai plus Tom rien n'ai moins sûr.

Alors oui il m'a fait souffrir comme jamais je n'ai souffert et Fransisca...je veux plus jamais la revoir, ou ne tout cas ne plus jamais lui parler. je m'en fou que se soi suspect ou autre. Je me suis déjà contrôlé comme un fou tout à l'heure. Mais j'avoue que le fait d'avoir pus parler à Georg ça m'a quand même apaiser. je sais pas s'il a sincèrement compris ce que je pouvais ressentir pour Tom mais ce qui m'a fait plaisir c'est qu'il n'a pas eut trop l'air dégouté. Alors il étais surpris c'est net. mais pas dégouté.

Lorsque Tom débarque en allumant la lumière je grimace en me faisant encore plus petit qu'avant. Il est plutôt directe, il viens contre moi et il s'allonge Me débattre, oui j'aurais pus mais j'étais épuisé et puis il ne fallait pas être devin pour comprendre que Tom ,s'il me prenais comme ça c'est pas pour se ramasser un coup. Il me tenait fermement.


Tomas Kaulitz-Trümper – Quand j’suis arrivé dans la salle de concert, j’étais seul. C’était pas prévu que Fransisca soit là… mais elle est arrivée et on a commencé à faire les cons. J’veux dire… on s’est fait une sorte de bataille d’eau tu vois et ça a dégénéré. J’ai retiré mon t-shirt moi-même et elle a fait de même avec le sien… Bill, ne crois pas que c’était prémédité


C'était peut être ça le pire. C'est que il n'arrive pas a contrôlé sa queue face un une nana bien roulée. Je ferme les yeux retenant mes larmes et en serrant la mâchoire. je resserre mon doudou contre mon coeur alors que...le bébé recommençais à me faire mal et j'émets un très léger gémissement suite à cela. Et mon amant effleura alors mon ventre à travers le sweetshirt.


Tomas Kaulitz-Trümper – J’suis désolé Bill, vraiment. Je sais que… j’t’ai déçu, et je comprends ça. Mais…


maintenant être désolé ça suffit plu je ne peu plus me contenté juste de cela j'ai besoin de plus, de garantie de promesse et tout ça. j'ai besoin qu'il me prouve quand lorsqu'il me dit qu'il m'aime il est sérieux.

je le sens alors exercer une pression sur mon épaule et il me tourne pour que je sois sur le dos. je garde Mr. Patapouff contre moi, mais sous la couverture tout en regardant mon frère. oui, oui ça se voyais qu'il souffrait lui aussi. Et non je n'était pas heureux parce que quand il s'agit de Tom je n'ai jamais cet esprit de vengeance.


Tomas Kaulitz-Trümper – Dis moi quelque chose. Insulte moi, frappe moi, mais reste pas comme ça. J’ai… j’ai pas couché avec elle. Bill…


Bill D. Kaulitz-Trümper – Si tu avais coucher avec elle dit toi bien que je ne serais soit pas rentrer soit pas rester. Mais Tom...Ce que j'ai ressentis c'était juste horrible je j'avais carrément de la peine a tenir debout sans trembler, murmurais-je enfin d'un voix particulièrement rauque. mais sache que a partir de maintenant "désolé ça suffit plus, aujourd'hui t'as perdu ma confiance. J'ai pas envie de te quitter. mais pour que notre histoire puisse continuer j'ai besoin de savoir jusqu'ou va ton amour pour moi. Et j'ai besoin de savoir ce que tu es prêt a faire et ce que tu compte faire surtout pour que je puisse a nouveau avoir confiance en toi.

– Si tu avais couché avec elle dit toi bien que je ne serais soit pas rentré soit pas resté. Mais Tom...Ce que j'ai ressentis c'était juste horrible je j'avais carrément de la peine à tenir debout sans trembler.

Tout ce qu’il me dit me brise un peu plus le cœur. Bill me fait part de sa souffrance et c’est juste horrible pour moi puisque tout est de ma faute. Si je n’étais pas sorti aujourd’hui, rien de tout cela ne serait arrivé. Et si je savais me contrôler, tout se serait aussi très bien passé. Je soupire silencieusement et hoche la tête, signe que j’avais comprit le message.
Honnêtement, tout ceci est difficile à entendre… mais je sais que je ne suis pas au bout de mes peines. Mon jumeau sait où appuyer pour me faire du mal. Il le sait et - même si ce n’est pas volontaire - il met déjà le doigt sur mon point sensible. La confiance.

-Mais sache qu’à partir de maintenant "désolé" ça suffit plus, aujourd'hui t'as perdu ma confiance. J'ai pas envie de te quitter. Mais pour que notre histoire puisse continuer j'ai besoin de savoir jusqu'où va ton amour pour moi. Et j'ai besoin de savoir ce que tu es prêt à faire et ce que tu comptes faire surtout pour que je puisse à nouveau avoir confiance en toi.

Ses premiers mots tournent en boucle dans ma tête. « T’as perdu ma confiance ». C’est exactement ce que je redoutais et Bill n’a pas mit longtemps avant de me le dire. C’était juste horrible d’entendre ça. Depuis plus que vingt ans, mon double et moi entretenons une relation que des centaines de personnes jalousent. Nous avons toujours été comme une seule et même personne et là, je viens de tout foutre en l’air. Nous sommes sensés être pire que proches et maintenant, à cause de mes conneries, nous nous éloignons. Bill n’a plus confiance en moi. Merde, comment je vais faire pour vivre avec ça ? C’est juste impossible. Une partie de moi vient de mourir et je me demande sérieusement comment je vais me relever. Néanmoins, je ne dirais rien. Après tout, c’est lui la victime… pas moi. J’ai mérité ce qui m’arrive.
Sans que je ne m’en rende compte, mes yeux se sont humidifiés et je me suis décalé. Je ne suis plus au dessus de mon frère mais assis en tailleur à côté de ses chevilles, au bout du canapé. Je lie mes mains entre elles et mordille un moment mon piercing en ressassant la suite de ses paroles. Je dois lui prouver mon amour ? Comment ? Quoi que je fasse, Bill n’a plus confiance en moi ; c’est donc peine perdue. Je passe rapidement ma main dans ma nuque et j’appuie mon dos nu contre le dossier du canapé. Un long soupire s’échappe de ma bouche et j’hoche la tête négativement, visiblement abattu & assommé.
Finalement, je réfléchis à toute vitesse et tourne mon visage vers mon frangin. Mes mots seront peut-être difficiles à entendre mais je ne peux pas tout perdre. Sa confiance, c’est déjà bien suffisant - pour ne pas dire trop.

-Bill, tu n’as plus confiance en moi… en tant que petit-ami seulement, hein ?, demandais-je, comme pour me rassurer.

Je laisse passer quelques secondes avant de poursuivre. Ma voix est légèrement tremblante mais je ne suis pas du genre à pleurer si facilement. Tout dépendra de sa réponse, j’imagine.

-Mais… en tant que frère jumeau, tu m’fais toujours confiance ?

Je soupire silencieusement et passe ma main sur mon torse, là où il m’a frappé précédemment. Je ne ressens plus aucune douleur. Là, c’est juste mon cœur qui morfle mais ce n’est que la monnaie de ma pièce.
Ne tenant plus en place, je me lève tranquillement et glisse mes mains dans les poches de mon survêtement. J’avance jusqu’à la fenêtre et m’arrête devant afin de fixer le ciel. Je donnerais tout & n’importe quoi pour revenir en arrière. Je pense que j’aurais simplement expliqué à Fransisca que je ne pouvais pas faire ça, ou je lui aurais simplement dit que j’avais besoin uniquement de jouer de la guitare. Ainsi, elle aurait été là pour m’encourager et me donner ses avis. Rien de plus.

-Qu’est c’que tu veux que j’fasse, Bill ? Tu m’fais plus confiance alors… quoi que j’dise, tu m’croiras pas. Dit moi, toi… Qu’est ce que tu veux ?, demandais-je avant de fixer la buée naissante sur la vitre ; à force de parler aussi près. J’suis pas le p’tit copain idéal… T’es l’seul mec pour qui j’éprouve du désir. Même là avec tes cheveux dans tous les sens et ton maquillage mit n’importe comment, t’es foutrement désirable. Mais, j’aime les filles aussi putain d’merde. J’aime les filles et j’aime le sexe.

Et ça, qui ne le sait pas ? Bill en est conscient maintenant puisqu’on couche ensemble. Il remarque à quel point je prends mon pied. Je fixe l’horizon ; bien que cela ne m’intéresse absolument pas, avant de poursuivre.

-J’veux pas t’perdre à cause de notre relation. J’veux qu’on soit proche comme avant, qu’on soit complice, qu’on ne soit qu’une seule et même personne. J’veux qu’tu ai confiance en moi… Et si le fait qu’on sorte ensemble est un danger pour notre … t’sais…ce lien si spécial… alors quitte moi. J’ai pas envie d’te perdre. T’es mon jumeau avant tout, Bill et t’es la personne qui compte le plus pour moi. Et là, j’ai vraiment l’impression qu’on a pu rien…, terminais-je en soupirant.

Quand il m’a avoué ses sentiments, j’ai eu vraiment peur que cela mette notre lien en danger. Puis je me suis dit qu’on saurait faire la part des choses et donc, si notre couple ne marche pas, on pourrait rester les frères jumeaux plus proches & complices que jamais. Néanmoins, j’ai peur de m’être trompé. Bill semble tellement… froid. Il semble avoir oublié que nous ne sommes pas juste un couple en train de nous disputer. Bordel, nous sommes frères avant tout.

Dire que je n'avais plus confiance était peut être excessif je pense. Car c'est tout simplement impossible que je n'ai plus confiance en Tom. Alors oui, il m'a fait très, très mal Et je pense que la corde si dure de la confiance qui me liais à lui depuis notre naissance c'est ramassé un sacré coup de hache. mais je ne pense pas que la confiance et complétement morte. u sinon...ça ne sert plus a rien que je vive ici. Donc je pense que j'y ai été un peu fort tout de même. je me redresse alors un peu alors que Tom c'était assis en face de moi. Alors je n'ai pas un esprit vangeur néanmoins lorsqu'il me fait mal et qu'après il cherche a se faire pardonné j'ai la sale habitude de lui dire tout ce qui ne va pas et c'est ça qui lui fait mal. Alors d'une certaine façon, oui j'ai un esprit de vengeance. mais il n'est pas attentionnelle.

Je me mets a jouer nerveusement avec la manche de mon grand sweetshirt, qui devais, d'ailleurs lui appartenir si je ne me trompe. Oui dans mes armoires j'ai souvent des vêtement appartenant à mon frère. Donc quand il cherche un truc a plupart du temps il la trouve dans mon armoire x)


Tomas Kaulitz-Trümper – Bill, tu n’as plus confiance en moi… en tant que petit-ami seulement, hein ? Mais… en tant que frère jumeau, tu m’fais toujours confiance ?


Ouaw ça, ça fait mal je resserre ma couverture autours de moi en serrant la mâchoire. je tremblait un peu et baissait la tête. Comme il disait ça. Putain j'avais l'impression que pour lui notre relation amoureuse c'est...futile et superficiel. Alors que pour moi...je sais que si on se quitte plus rien ne sera jamais pareil entre nous. Je ne pourrais plus supporter les femmes que Tom aura dans sa vie. Et notre relation fraternel changera aussi. C'était peut être une erreur au fond d'avoir voulu être honnête avec lui il y a quelques semaines. J'aurais dus garder toute ça pour moi, me taire et subir. AU moins on se serais pas là maintenant a se poser des question pareil. Mais EN même temps avec des "si" on refait le monde hein.

Je le regarde alors se lever pour se diriger vers la fenêtre. je caresse le bras de ma peluche pour canalisé en quelque sorte mes larmes et pour ne pas paraitre encore plus pitoyable que je ne l'étais actuellement. Mais ce qui suivit me fit lâcher une petit glapissement et des larmes dévalèrent mes joues.


Tomas Kaulitz-Trümper – Qu’est c’que tu veux que j’fasse, Bill ? Tu m’fais plus confiance alors… quoi que j’dise, tu m’croiras pas. Dit moi, toi… Qu’est ce que tu veux ?
J’suis pas le p’tit copain idéal… T’es l’seul mec pour qui j’éprouve du désir. Même là avec tes cheveux dans tous les sens et ton maquillage mit n’importe comment, t’es foutrement désirable. Mais, j’aime les filles aussi putain d’merde. J’aime les filles et j’aime le sexe.


C'est tout ? Dans notre relation amoureuse il me trouve juste désirable ? pour lui notre couple n'ai basé que sur ça ?! je me morde fortement la lèvre inférieur et fermant les yeux et en serrant la brase du vieille ours en peluche qui était sous la couverture avec moi. je m'investis comme un fou pour cette relation ai un bel avenir et lui...il me trouve juste désirable. Han il y a des gifles qui se perdent...


Tomas Kaulitz-Trümper – J’veux pas t’perdre à cause de notre relation. J’veux qu’on soit proche comme avant, qu’on soit complice, qu’on ne soit qu’une seule et même personne. J’veux qu’tu ai confiance en moi… Et si le fait qu’on sorte ensemble est un danger pour notre … t’sais…ce lien si spécial… alors quitte moi. J’ai pas envie d’te perdre. T’es mon jumeau avant tout, Bill et t’es la personne qui compte le plus pour moi. Et là, j’ai vraiment l’impression qu’on a pu rien…


C'est bon ? il a fini là ? je crois avoir compris que cette relation lui convenait pas, ça va Mais je lui avais demander d'être sincère et de me le dire si Ça allait pas . J'ose pas bouger et je secous la tête comme pour essayer de me dire que tout ça c'est pas vrai, que... il avais pas le droit de me faire plus ou moins comprendre qu'il voulais me quitter mais qu'il préférais que se soit moi qui donne le coup de grâce... Ouai...Alors en plus de penser qu'avec sa queue il et pas foutu de me dire qu'il veux que ça s'arrête ?! Il me faut un moment avant d'ouvrir enfin la bouche. Il faut pas que Ça paraisse trop agressif.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Rah mais si j'ai encore confiance en toi c'est juste que j'ai eut l'impression en te voyant avec Fr..elle de me ramasser un TGV en pleine gueule. je sais que t'aime le sexe. Mais j'aurais vraiment penser qu'avec moi t'aurais voulu construire quelque chose d'autre que juste faire la kamasoutra chaque soir. je sais que tu aime le sexe moi aussi j'aime ça mais je pensais, c'est peut être con, mais j'imaginais que dans cette relation j'étais pour toi un peu plus que juste "très désirable"


Murmurais-je très timidement en finissant par me lever pour le retourné gentiment pour qu'il me fasse face. J'aimais pas discuter a quelqu'un qui me tournais le dos. je le regarde de haut en bas en remettant la couverture qui était autours de moi correctement.


Bill D. Kaulitz-Trümper – mais...si tu veux arrêté ne me demande pas de mettre un terme a ta place. t'a le droit de plus vouloir d'engagement et rester le mec volage sans attache. C'est là qu'on voit qu'one st pas vraiement une seule personne malgré le fait qu'on soit jumeau. moi j'ai besoin de em casé...pas toi. C'est toi quia tous en main


Murmurais.je enfin en fermant les yeux qui étaient très humides. Je baisse alors la tête attendant qu'il me dise un truc genre "j'suis désolé Bill j'peux pas continuer" En fait j'attendais le coup fatal qui achéverais notre...courte histoire. Après j'allais devoir trouver trouver un solution pour le bébé...l'adoption sans doute il sera sans doute plus heureux. J'en sais rien en fait. je fixe mon ventre plat qui était recouvert du gros sweet et de la couverture. Il serais tellement mignon dans sa grenouillère noire et violette.

– Rah mais si j'ai encore confiance en toi c'est juste que j'ai eut l'impression en te voyant avec Fr..elle, de me ramasser un TGV en pleine gueule. Je sais que t'aimes le sexe. Mais j'aurais vraiment pensé qu'avec moi t'aurais voulu construire quelque chose d'autre que juste faire le kamasoutra chaque soir. Je sais que tu aimes le sexe, moi aussi j'aime ça mais je pensais, c'est peut être con, mais j'imaginais que dans cette relation j'étais pour toi un peu plus que juste "très désirable".

Évidemment, je me doute que Bill n’a pas apprécié cette vision. J’aurai été dans le même cas que lui ; voire pire puisque je l’aurai quitté sans hésiter. Mes sentiments, je les aurai refoulé mais c’est juste hors de question que je sois cocu. Je plonge mon regard dans le sien, quand mon frère me retourne, et croise mes bras contre mon torse nu. Ma langue passe rapidement sur mes lèvres et j’hoche la tête négativement. Visiblement, mon double prend tout au premier degrés et ne cherche absolument pas à comprendre ce que j’ai voulu dire. Bill est effectivement très désirable mais je ne suis pas avec lui pour son cul. Je voulais juste qu’il comprenne qu’il était le seul garçon à me rendre fou et que ce n’était pas négligeable.
Je soupire alors profondément et pose mon index sur ses lèvres pour qu’il se taise. Sérieusement, je n’ai pas envie d’en entendre plus. Bill me prend pour le pire des salauds alors qu’avec lui, je fais d’énormes efforts. Je suis en manque de sexe et j’aurais pu sauter la première groupie qui m’aurai fait des avances. Cependant, je n’ai rien fait du tout. Mon corps est à lui depuis plus d’un mois et ça, il semble l’oublier.

Finalement, je me rends compte que je n’ai pas parlé depuis de nombreuses secondes. Je me contente donc de poser mes mains sur les joues de mon frangin, et je lui essuie tranquillement ses larmes. Je ne supporte pas de le voir pleurer par ma faute.
Si j’avais su, je ne me serais peut-être pas lancé dans cette histoire avec Bill. Parce que maintenant, je sais qu’il ne fait pas la part des choses ; pour lui, si notre couple tombe, alors notre relation fraternelle ne sera plus pareil. Et ça me tue clairement. Honnêtement, je pense différemment. Imaginons que ça soit la fin de notre couple… Et bien je serais toujours le même Tom Kaulitz. Je serais toujours son frère jumeau et mes agissements envers lui ne changeront absolument pas.
Tout ce qu’il me dit me blesse. Je n’aurais jamais cru en arriver là avec lui. Merde, je pourrais perdre tout le monde mais pas lui. Pas Bill.

– Mais...si tu veux arrêter, ne me demande pas de mettre un terme à ta place. T'as le droit de plus vouloir d'engagements et rester le mec volage sans attache. C'est là qu'on voit qu'on est pas vraiment une seule personne malgré le fait qu'on soit jumeau. Moi j'ai besoin de me caser...pas toi. C'est toi qui a tout en mains.

Nous ne sommes pas une seule et même personne ? Wah. Alors là, il y va vraiment fort.
Mes mains lâchent immédiatement son visage et je tourne ma tête afin de regarder l’extérieur. Mon cœur bat incroyablement vite mais c’est loin d’être une sensation agréable ; je me sens tellement… mal. C’est vrai que je mérite tout ça mais pas à ce point. J’aurais accepté de perdre mon « petit-ami » mais pas mon frère jumeau. Bill est juste en train de m’achever.

En effet, je suis coincé. Si je décide de poursuivre notre relation - bien que ça soit plutôt à Bill de décider - ; mes faits et gestes seront surveillés et mon frangin tiendra à ce que je lui fasse des tas de promesses. Ca sera donc le moyen idéal pour qu’il ai de nouveau confiance en moi. Et si, au contraire, je décide de rompre, alors je n’aurais pas plus de liberté. Bill n’acceptera pas mes sauteries et je suis persuadé qu’il ne perdra pas une seule seconde pour me dire que j’attendais sûrement que ça ; pouvoir baiser une fille. Sans oublier le fait que notre gémellité en prendra un coup. Alors, que faire ?
Je me décale de la fenêtre et respire profondément avant d’hocher la tête négativement.

-Tu m’tiens par les couilles, dis-je en soupirant profondément.

Oui, Bill me tenait. Quoi que je fasse, il gagnait la partie - bien que tout cela n’avait rien d’un jeu.
Je passe ma langue sur mes lèvres et m’éloigne de lui avant de rejoindre la porte de la pièce. Je m’appuie contre l’encadrement et prends quelques secondes ; pour ensuite parler sereinement.

-J’ai merdé, Bill, j’te l’accorde. Mais t’as pas l’droit de toucher à notre fraternité ! C’est pas la même chose d’accord ?!

C’était plus fort que moi, je m’énervais.

-Tu interprètes mes mots sans rien comprendre. T’es désirable, c’est pas d’ma faute ! Et pis j’disais juste ça pour que tu saches que.. y’a qu’toi ! Maintenant, si faire le Kamasutra, ça t’emmerde, et bin ok, on fait pu rien ! Enfin, ça a pas vraiment l’air de t’faire chier en fait…, je faisais référence à ses « hurlements ». C’était sûr que Bill aimait nos parties de jambes en l’air. Bref ! Si j’voulais pas d’engagements, j’aurais pas été d’accord pour qu’on garde l’enfant.

D’ailleurs, j’aurai pensé que le fait que Bill soit enceinte m’aide à tenir ma bête en place mais… ; je ne suis qu’un irresponsable. Il faut vraiment que je change ou je le perdrais définitivement.

-Qu’est c’que t’attends d’moi ?

Gagner ? Mais gagner quoi qu'est ce que je gagnerais s'il me quitte ? C'est claire que revenir à la normal sera atrocement dure pour moi mis merde pourquoi tout le monde crois que je suis une gosse pourri gâté et égoïste. Il est certain et que j'aurais peine a supporté ses sauterie. Mais je pense l'aimer assez pour pouvoir sourire et ne pas montrer ça c'est dur pour moi. je ne tien pas particulièrement à lui faire du mal même s'il m'en fait lui. Je ne suis en aucun cas comme ça. je baisse les yeux alors qu'il pose son index sur ma bouche.


Tomas Kaulitz-Trümper – Tu m'tiens par les couilles, Bill


Alors ça c'est la meilleure. Ah Bah voyons attention ça va être moi l'enfoirée bientôt. je le regarde s'écarter de moi après qu'il m'ait essuyer les yeux. Sa mains était toute douce et elle lissait tendrement sur ma joue.. Néanmoins il s'arrêta très vite pour l'éloigné de moi pour aller vers la porte. Je le regarde avant de baisser les yeux a nouveau. Je me "traine" jusqu'au canapé ou je pose ma peluche avant de retirer ma couverture. je finissait par avoir un peu chaud. je priais pour qu'il ne me laisse pas tout seul ici...Oui je sais je suis bizarre.


Tomas Kaulitz-Trümper – J’ai merdé, Bill, j’te l’accorde. Mais t’as pas l’droit de toucher à notre fraternité ! C’est pas la même chose d’accord ?!


Je baissait le regarde d'un air coupable, j'avais fait monter la moutarde. et maintenant il s'énervait.


Tomas Kaulitz-Trümper – Tu interprètes mes mots sans rien comprendre. T’es désirable, c’est pas d’ma faute ! Et pis j’disais juste ça pour que tu saches que.. y’a qu’toi ! Maintenant, si faire le Kamasutra, ça t’emmerde, et bin ok, on fait pu rien ! Enfin, ça a pas vraiment l’air de t’faire chier en fait… Si j’voulais pas d’engagements, j’aurais pas été d’accord pour qu’on garde l’enfant.


Je reste un moment sans rien dire. en mordille ma lèvre. Cela ne sert a rien d'envenimer les chose. il sais que j'aime faire l'amour avec lui. je suis accro aussi, mais pas au sexe, non moi je suis accro à lui. je m'avance lentement vers lui. Et d'une main mal assurée je prend sa main et caresse le dos de celle-ci avec mon pouce.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Tom...j'aime faire l'amour avec toi, j'ai jamais autant pris mon pied, bon ça je parie que je suis pas le premier a dire ça mais je lui en serrais reconnaissent de ne pas le dire. Et...tu sais moi ce que je veux c'est que...qu'on oublie tout ça. je sais bien que cette relation c'est tout nouveau pour toi. Et pour moi aussi. et j'ai pas envie que notre histoire se termine là je t'aime vraiment. Et j'ai envie de croire en nos chance d'avoir une belle histoire


Dis-je enfin en continue dans caresse le dos de sa main. J'avais relevé la tête et mes yeux rougis pas toutes les larmes qui on coulé le long de la soirée plongèrent dans ceux remplis de remorts de mon frère. Mon autre main viens caresser sa joue


Bill D. Kaulitz-Trümper – je t'aime Tomas

Au moment où Bill s’approche de moi, je crains qu’il m’en foute plein la gueule mais, au contraire, il reste très calme. Sa main glisse dans la mienne et je baisse mon regard. En fait, je n’avais aucune envie de lire toute la souffrance dans ses yeux. Je suis peut-être lâche mais… c’est comme ça. Ma langue passe rapidement sur mes lèvres et j’attends quelques secondes avant de pouvoir entendre les mots de mon double.

– Tom...j'aime faire l'amour avec toi, j'ai jamais autant prit mon pied.

En temps normal, j’aurais été flatté et j’aurais même renchéri à ce sujet. C’est vrai que c’est très agréable d’entendre ça ; mais là, ce n’était absolument pas le moment de me montrer taquin. Et pourtant, j’en avais envie. J’avais envie de rire avec lui ; comme avant. Et j’avais aussi très envie de lui faire prendre son pied comme jamais. Néanmoins, avec ce qu’il m’avait balancé quelques temps plus tôt, je doute que je sois capable de le mettre dans mon lit de si tôt. Sérieusement, Bill pense déjà assez que je ne pense qu’à ma queue. Mais même s’il n’a pas totalement tort, je veux vraiment lui prouver que je peux me tenir… s’il m’aide un peu.

- Et...tu sais moi ce que je veux c'est que...qu'on oublie tout ça. Je sais bien que cette relation c'est tout nouveau pour toi. Et pour moi aussi. Et j'ai pas envie que notre histoire se termine là je t'aime vraiment. Et j'ai envie de croire en nos chances d'avoir une belle histoire.

C’est sur que ça, c’est tout nouveau pour moi et je n’ai absolument pas l’habitude de me consacrer à une seule et même personne. & j’ai encore moins l’habitude de ne pas coucher à droite à gauche. Malgré tout, j’ai envie de croire que notre histoire peut durer. J’ai vraiment envie de rendre Bill heureux et en plus de ça, nous attendons un enfant alors ce n’est pas le moment de faire n’importe quoi.
Je soupire silencieusement et hoche la tête positivement. Ce que me dit Bill devrait me réjouir et pourtant, je n’y arrive pas. J’ai l’impression qu’il m’est totalement soumis & j’ai horreur de ça. Pourquoi il ne s’énerve pas ? Pourquoi il ne me gifle pas ? Pourquoi il ne me repousse pas ? Pourquoi il est aussi… gentil ? Ma langue passe rapidement sur mes lèvres et je me décide enfin à lever mes yeux, que je plonge dans les siens. Il a pleuré par ma faute et je m’en veux terriblement. Je grimace doucement et ferme mes paupières au contact de sa main sur ma joue.

– Je t'aime Tomas.

Je ne mérite absolument pas ces mots. Mais je ne peux m’empêcher de sourire légèrement. Si seulement j’étais capable de lui dire à quel point je l’aime moi aussi… & pourtant, aucun mot ne sort de ma bouche. Je suis juste le pire petit-ami qui puisse exister, et il a fallu que ce soit Bill qui tombe amoureux de moi. Je lui fait du mal & c’est terrible.
Je soupire profondément et passe ma main dans sa nuque pour l’attirer un peu plus contre moi. Mes bras passent finalement autour de sa taille et j’embrasse tendrement son front. Je ne me sens pas capable de lui offrir un baisé digne de ce nom ; j’ai trop honte de ce que je lui fait subir. Le fait qu’il me « pardonne » et qu’il soit si « gentil » me déstabilise. J’aurais sans doute préféré qu’il me frappe ou m’insulte. Au moins, nous aurions été quittes.

Je finis par m’approcher de son lit et je prends sa peluche avant de le rejoindre. Ma main glisse dans la sienne et je l’emmène sans un mot jusque dans notre chambre. Je l’assois sur le lit et me met à ses côtés avant de m’allonger tranquillement, sur le dos. Mes doigts tapotent en rythme sur mon ventre nu et je fais mine de réfléchir avant d’hocher la tête positivement.

-J’suis encore une fois désolé pour tout, Bill, dis-je en fixant le plafond. Dors avec moi… j’ai pas envie qu’on s’éloigne et j’ai pas envie non plus que tu m’fasses pu confiance. Enfin, je sais que tu vas t’poser des questions à chaque fois que j’sortirais mais… comment je peux faire pour que tu ne t’inquiètes pas ?, soufflai-je, tout en sachant que Bill paniquerait toujours.

Ma réputation n’était déjà pas quelque chose de simple. Bill savait que je couchais sans cesse & que j’aimais ça. Néanmoins, m’avoir surprit avec Fransisca ne l’aidait absolument pas. Jamais il ne pourrait être rassuré.
Je tourne ma tête en directement de mon double et appuie mon poing contre ma tempe. Mon regard fixe un moment la couverture et je joue avec avant de toucher le sweat que portait Bill. En fait, c’était le mien. Je l’attire doucement contre moi et embrasse sa joue.

-Tu veux m’attacher ? Me ligoter ?, dis-je comme pour détendre l’atmosphère. Je suis tout à toi, Bill.

Je chatouille très légèrement ses côtes et remonta ma main dans le cou de Bill pour ensuite caresser sa mâchoire avec mon pouce. Je ris silencieusement et soupire avant de me mettre contre mon frère. Ma main entoure sa taille et je dépose de longs baisers sur son épaule, par-dessus le vêtement.

A quoi, mais a quoi peu bien servir que l'on se crie dessus ? A part a nous éloigner davantage l'un de l'autre. Et ça j'en ai pas envie. Alors peut être que e fait que je lui "pardonne" est incompréhensible pour lui et vu la tête qu'il tire en effet, il ne comprend pas, mais pour moi c'est vraiment le meilleur choix. Je décide donc que le mieux pour lui, moi moi et pour le bébé c'est que...nous passions outre cet incident et que nous vivions comme si rien ne c'était passer. Même si je pense que... je ne pourrais plus faire comme si de rien était avec ..elle. Bon il est évident que je ferais de mon mieux. Mais notre relation changera certainement. Par contre je n'irais rien révéler à Gustav.

Je le vois mal à l'aise comme jamais. Je m mords donc la lèvre inférieur ayant peur d'avoir fait un faux pas et n'ayant pas sus avoir les bon mots avec lui, oui peut être que j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas. mais très rapidement je comprends que je ne l'ai pas blessé, vu qu'il prend ma main et va prendre ma peluche ainsi que mon oreiller avant de me "tirer" dans notre chambre. je m'assois tout d'abord et fini par m'allonger alors que que mon amant s'allonge près de moi. Nos regarde se perdent à nouveau l'un dans l'autre.


Tomas Kaulitz-Trümper – J’suis encore une fois désolé pour tout, Bill. Dors avec moi… j’ai pas envie qu’on s’éloigne et j’ai pas envie non plus que tu m’fasses pu confiance. Enfin, je sais que tu vas t’poser des questions à chaque fois que j’sortirais mais… comment je peux faire pour que tu ne t’inquiètes pas ?


je l'observe en l'écoutant. ça fait morflé l'amour quand même. c'est c'est si agréable en même temps. le fait qu'il veuille que je dorme avec lui je fait quand même sourire c'est une preuve qu'il ne s'en fous pas et je sais que il y a quatre mois et bien il ne l'aurais pas dit... J'aurais fait ce que je voulais et il ne m'aurais pas retenu. Mais la confiance...AH Ça va être vraiment difficile je pense de ne pas imaginer le pire dès qu'il sort. Et sinèrement je ne sais pas comment faire pour ne plus que je panique.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Je crois que paniqué je paniquerais toujours c'est...dans ma nature de tout le temps être inquiet. je ne sais absolument pas ce que tu peux faire pour me rassurer. Mais Tu est, en plus d'être mon amant, mon jumeaux tu saura me rassurer quand tu sera prêt a ne vouloir plus que moi.


Murmurais-je enfin alors que mon frère me tir doucement contre lui. je me blotti dans ses bras en fermant les yeux, ça fait tellement de bien. Je l'aime tellement. il m'embrasse alors sur la joue en caressant ma main.


Tomas Kaulitz-Trümper – Tu veux m’attacher ? Me ligoter ? Je suis tout à toi, Bill.


J'ai un petit rire. Arrête qu'il ne parle pas de le ligoter au lit ça pourrais bien m'exciter. Et après le grand discoure que je lui ai fait sur le fait que je ne suis pas seulement un vide couille... ça serais quand même bizarre. je caresse sa joue amoureusement avant de l'embrasser chastement.


Bill D. Kaulitz-Trümper – C'est pas toi qu'il faut attaché c'est ta queue. Et puis évite de m dire que tu es tout a moi ça pourrais finir par me donner des idées.

– Je crois que paniquer, je paniquerais toujours, c'est...dans ma nature de tout le temps être inquiet. Je ne sais absolument pas ce que tu peux faire pour me rassurer. Mais tu es, en plus d'être mon amant, mon jumeau tu sauras me rassurer quand tu seras prêt à ne vouloir plus que moi.

Ca, pour être inquiet, il l’était entièrement. Parfois, ça m’amusait et parfois, un peu moins. Surtout dans ce cas présent où évidemment, la confiance qu’il m’accorde est compromise. J’ai toujours redouté ça et malheureusement, il a fallu que je fasse un faux pas pour que ça me tombe dessus.
J’hoche doucement ma tête et passe ma langue sur mes lèvres avant de soupirer profondément. J’aimerais tellement que Bill comprenne que je ne ferais plus n’importe quoi. Aujourd’hui, j’ai vraiment eu peur de le perdre ; et je crois que ça se voit assez.
J’attends un moment et passe mon bras autour de la taille de Bill lorsqu’il se blottit contre moi. J’embrasse doucement son front et laisse passer quelques secondes avant de lui répondre, d’une voix calme et douce.

-J’te promet de faire attention. Mais tu sais, c’est vrai, j’comptais pas te tromper… J’pensais qu’à toi. Ca fait juste plus d’un mois que j’ai pas touché une fille alors forcément, la voir se déshabiller comme ça, j’suis dev’nu dingue, expliquai-je tout en baissant doucement mes yeux vers nos mains enlacées.

J’esquisse un très léger sourire en repensant à la situation. Si Fransisca ne s’était pas déshabillé devant moi, je ne me serais certainement pas jeté sur elle. Je crois que nos provocations mutuelles m’ont rendues totalement fou. & pourtant, Dieu sait à quel point toutes mes pensées étaient dirigées vers mon jumeau.
Je soupire silencieusement et lui propose donc de m’attacher. Évidemment, je plaisantais ; je voulais juste qu’il sourit - au moins. Tout ce que je voulais, c’était qu’il oublie ça, au moins pour ce soir. Je me doute que ces images resteront gravées - pas trop longtemps, j’espère - mais j’aimerais lui faire passer une bonne soirée malgré mes erreurs.
Finalement, j’ai réussi ; Bill rit en m’entendant. Et le simple fait de l’entendre me réchauffe le cœur. Celui-ci se met à battre un peu plus fort. La joie en plus de l’amour que j’éprouve pour lui rend les battements plus intenses et nettement plus agréables. Je plonge mon regard dans le sien et effleure sa mâchoire, de mes doigts.

– C'est pas toi qu'il faut attacher, c'est ta queue. Et puis évite de me dire que tu es tout à moi, ça pourrais finir par me donner des idées.

Je ris en entendant ses propos. J’hausse doucement mes épaules, en faisant mine de réfléchir ; puis je me remet sur le dos. Mon bras passe autour du cou de Bill et je l’incite à poser sa tête contre ma clavicule. De cette façon, je n’ai qu’à tourner faiblement mon visage pour pouvoir sentir ses cheveux et les embrasser comme bon me semble. Mes doigts galopent sur son épaule et je glisse ma main libre sur la hanche de mon double.

-Oh, tu veux l’attacher ? J’te laisserais faire, c’est promis, dis-je avant de rire.

J’imagine la douleur que ça pourrait procurer. Du moins, pas dans l’immédiat mais si je me met à bander, ça doit être tout simplement horrible. Enfin, ça doit être le but puisque c’est censé m’empêcher de vouloir la montrer à n’importe quelle fille.
Quoi qu’il en soit, je ris un peu plus fort et repense aux dernières paroles de mon jumeau. Lui donner des idées ? Ouh alors là, j’avoue que j’ai bien envie d’en savoir plus. D’habitude, je suis le plus entreprenant des deux et Bill n’ose peut-être pas proposer de nouvelles choses. Donc si là, il se sent capable d’innover, je veux tout entendre.

-Dit moi tout, chéri. Quelles idées ? C’est vrai en tout cas, je suis tout à toi. Tout à toi, dis-je, tout en sachant que je provoquais quelque peu.

Je ris doucement et embrasse son front avant de me redresser doucement. À vrai dire, je repose ma tempe contre mon poing et glisse ma main libre sur le torse de Bill, remontant tranquillement dans son cou.

-Allé ! Diiiis, soufflai-je avant d’aller mordiller sa mâchoire.

Tomas Kaulitz-Trümper – J’te promet de faire attention. Mais tu sais, c’est vrai, j’comptais pas te tromper… J’pensais qu’à toi. Ca fait juste plus d’un mois que j’ai pas touché une fille alors forcément, la voir se déshabiller comme ça, j’suis dev’nu dingue

Bon je suis quand même flatter du fait qu'il ne pensait qu'a moi. A vrai dire Tom avais ses manière de me dire qu'il était amoureux de moi. Et le connaissant, dire qu'il pensais à a moi alors qu'il avais le corps a moitié nu d'une belle femme devant les yeux. C'était quand même un signe irrévocable d'une grande affection pour moi et encore le mot affection est assez faible. C'est la premier fois que Tom me dis un truc pareil. et j'avoue que cela amplis mon coeur d'une joie incroyable. J'ai le coeur qui accélère et je ne peu m'empêcher de l'embrasser chastement avant de me mordiller la lèvre inférieur.

Alors bien sûr ce que j'ai vue m'a fait mal mais je l'aime plus que tout au monde, il est toute ma vie. Nous allons avoir un bébé ensemble, ce n'ai pas rien et j'avoue que l'idée m'excite de plus en plus. Rien que de l'imaginer avec un nouveau né dans les bras ça me fait fondre. mais évitons de s'enflammer. ce n'ai pas pour tout de suite j'ai tout le temps de me réjouir. Mais là je pense qu'il faut que je profite avant tout de mon chéri. bah oui quand le bébé sera là on aura moins de temps tous les deux. Déjà que nous n'en avons pas beaucoup...

Puis Tom me sort alors de mes pensée en me disant que je pourrais l'attacher. Et j ne peut m'empêcher de rire. Hum oui l'attacher au lit qu'il soit tout a moi. hum 4a me donne certaine idées je l'avoue. Je pourrais ainsi dominé les préliminaire. J'ai pas envie de dominé le reste sincèrement et je ne suis pas sur que Tom accepterais se ce faire"dépluceler". Je ne peux m'empêche de mordiller ma lèvre rien qu'il m'imaginant allonger complétement nus et excité comme jamais. voir les légère goutte de sueur perler sur son front et l'entendre me supplier de le détacher pour qu'il puisse me faire l'amour. Oulalala ! il faut vraiment que je me calme car rien que ce genre d'images pourrais me faire bander. je secoue alors la tête.


Tomas Kaulitz-Trümper – Oh, tu veux l’attacher ? J’te laisserais faire, c’est promis


Un sourire limite aguicheur étire alors mes lèvre avant que je m'allonge sur le dos et de tourné la tête pour le regarder, je sentais ses doigt habiles de guitariste caresser l'arrière de ma tête a travers ma tignasse. Et je frissonnais légèrement.


Tomas Kaulitz-Trümper – Dit moi tout, chéri. Quelles idées ? C’est vrai en tout cas, je suis tout à toi. Tout à toi


Je me redresse alors sur les coude avec un sourire amusé, Tom a vraiment l'air d'y tenir. il veux savoir qu'elle son les film de cul que je me fait dans un coins de me tête et en plus il insiste. Et moi je continue a me taire . Il prend alors ma main et me fit son air de chien battu.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Tomi cheri t'es sur de vouloir être attaché et être complétement soumis à moi ?!..Enfin complétement...jusqu'à ce que sous l'envie du brise des menotte et que t me saute dessous pour me faire l'amour avec passion et hardeur


Dis-je avec un petit sourire en me recouchant et en laissant mes longs doigts fins parcourir ses abdominaux et ses péctoraux. je me tourne ensuite, me mettant sur le côté posant mon poing sur ma tempe en plongeant mon regarde dans le siens


Bill D. Kaulitz-Trümper – A vrai dire je t'imaginais attaché au lit complétement nue et en train de bander comme jamais. et je te torturais un peu...voir beaucoup en fait. Et cette image c'est dingue l'effet que Ça me fait, rien que de me l'imaginer trésor.


J'avais un sourire accroché au coins des lèvre et me laisse a nouveau tomber sur le dos en soupirant te ne fermant les yeux pour me remettre x)

La discussion avait vite divagué. Tout à l’heure, nous parlions de Fransisca & maintenant, nous étions en train de nous tenter en parlant de sexe. Je crois que ça pourrait sérieusement m’exciter ; d’autant plus que je n’ai pas eu ma dose depuis quelque temps déjà. Quoi qu’il en soit, je repensais à la jeune Schäfer. Un peu plus & elle ne voulait plus me parler. Bref. Tout était à peu près arrangé et maintenant, je n’en avais que pour Bill. Il n’y avait que lui dans ma tête & surtout dans mon cœur. Je plonge alors mon regard amoureux dans le sien & attend qu’il m’en dise plus à propos de ses fantasmes. Je n’aurais jamais pensé qu’il soit attiré par la soumission. Du moins, moi, soumis. Sérieusement, je ne me vois absolument pas dans ce rôle mais pour lui, je ferais tout.

– Tomi chéri, t'es sur de vouloir être attaché et être complètement soumis à moi ?!..Enfin complètement...jusqu'à ce que sous l'envie, tu brises des menottes et que tu me sautes dessus pour me faire l'amour avec passion et ardeur.

Je fixe ses doigts vernis qui galopent sur mes abdominaux et les contracte faiblement.
À vrai dire, si l’un de nous devait être attaché au lit, j’aurais plutôt imaginé que ce soit lui mais honnêtement, je ne vois aucun inconvénient à tenter quelques nouvelles expériences. Et puis, comme Bill venait de le dire, je pourrais très bien me débarrasser des menottes et lui sauter dessus pour lui faire l’amour comme un fou. J’imagine déjà que je serais excité comme un taureau.
Je ris silencieusement et me mordille la lèvre inférieure avant d’hausser mes épaules. Une chose est sûre, je ne le laisserais pas me pénétrer. Je suis trop fier pour ça & puis sérieusement, j’ai peur de souffrir. C’est mon choix de toute façon.

– A vrai dire je t'imaginais attaché au lit complètement nu et en train de bander comme jamais. Et je te torturerais un peu...voire beaucoup en fait. Et cette image c'est dingue l'effet que ça me fait, rien que de me l'imaginer trésor.

J’imagine que ça peut être très intéressant pour lui. Pour moi aussi d’ailleurs. J’imaginais très bien sa bouche s’aventurer sur mon torse, redescendant progressivement jusqu’à mes abdominaux avant de rejoindre mes parties intimes. Je ne l’ai encore jamais dit à Bill mais sa façon de me sucer est juste parfaite. Ses lèvres pulpeuses me rendent fous et sa langue percée me fait voir les étoiles. Néanmoins, puisque je ne suis pas un mec qui montre facilement ses émotions, il me faut souvent du temps avant que je réussisse à laisser exploser mes sentiments & mes ressentis.
Je tourne doucement mon visage vers mon androgyne de frère et lui adresse un large sourire. Je le regarde se mettre sur le dos et me redresse tranquillement afin de passer au dessus de lui. Mon corps n’écrase pas le sien puisque je reste sagement à 4 pattes ; je souhaite uniquement le provoquer gentiment, un petit peu.

-Tu m’imagines en train de bander ? T’es… un vrai coquin bébé, soufflai-je avant de rire silencieusement. Elle serait très grosse et serait posée contre mon ventre, mmh, je sais que ça t’donne envie mon amour, terminai-je avant de mordiller sa mâchoire.

Parfois, je peux paraitre « cru » et indélicat. Mais là, il faut avouer que le contexte s’y prête. Bill me fait par de ses fantasmes alors je ne peux m’empêcher de le provoquer un petit peu. J’ai l’habitude de ce genre de situation mais quand il s’agit de mon jumeau, j’ai envie d’être… très convaincant.
Je l’embrasse doucement sur la joue et me dirige doucement vers ses lèvres. Je les lui mordille doucement et passe le bout de ma langue dessus, amusé.

-Je pourrais pas m’empêcher de vouloir te toucher. Alors c’est clair que je ferais sauter les menottes, dis-je en riant ouvertement.

Je recule doucement mon visage et plonge mon regard dans le sien. C’est fou comme je l’aime. Je lui souris largement et finis par m’asseoir délicatement entre ses cuisses ; je fais de mon mieux pour ne pas l’écraser. Je glisse mes doigts sur le bas de son ventre et lève doucement le pull qu’il porte. J’incite Bill à se redresser et fait passer le vêtement au dessus de sa tête.

-& tu as d’autres idées encore ? J’ai envie de tout savoir, terminai-je, amusé.

Qu'il m'aime, je n'en doute absolument plus il suffit de le voir depuis tout à l'heure. Dans le dressing j'ai presque cru qu'il allais pleurer. Et pour être honnête maman et moi sommes bien les seuls personne ayant vu Tomas Kaulitz-Trümper pleurer. Ce garçon réussit à merveille a cacher ses ressentis et principalement depuis 2005 c'est sa manière a lui de se protéger des média, des fan et tout autre sangsue qui désir nous"pourrir" la vie. Bon je parle plus des médias cas le cas présent. Enfin bref. je savais que mon frère avais bien plus de peine que moi à ouvrir vraiment son coeur. en fait je peu comparer ses sentiment comme une forteresse imprenable. Moi je m'acharne a frapper le plus fort que je pouvais contre les porte. mais je crois que j'ai quand même réussit à faire une brèche étant donné qu'il est tout doux et tendre avec moi dans le cas présent et qu'il me dit des tas de mot doux et ses regards...mon dieux je vais fondre.


Tomas Kaulitz-Trümper – Tu m’imagines en train de bander ? T’es… un vrai coquin bébé. Elle serait très grosse et serait posée contre mon ventre, mmh, je sais que ça t’donne envie mon amour


Bah oui je suis un petit pervers, j'ai de qui tenir, quand on vois Tom il est quasi impossible que moi je ne soi pas coquin. Il fallait juste que la bonne personne me décoince (a) je lui fais un petit clin d'oeil complice avant d'humidifier mes lèvres. l'avantage avec Tom c'est que je savais exactement quel geste faire pour ne pas le laisser indifférant. de plus es geste peuvent paraitre tout a fait innocent. Le simple fait de ma passe ma langue sur les lèvres pour les humidifié un peu je sais que parfois ça lui donne très très chaud.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Hum grave ça me ferais complétement perdre la tête et tu le sais parfaitement, murmurais à son oreille. Néanmoins je suis certaine que me voir entièrement nu sans pouvoir me touche te rendra dongue bébé. Imagine mes main parcourir ton corps, mes lèvres sur ton ventre et tout sa...sans pouvoir ne seraisce m'effleurer.


Dis-je enfin alors que Tom passais sur mi à quatre patte, son regard plonger dans les mien. Il brillait mais j'ai bien l'impression qu'il s'assombrissait de désir aussi. A moi que cela soit un effet du à la luminosité de la pièce que qui est possible également.mais j'avoue que je préférais le désir plutôt que la lumière. Il m'embrasse alors sur la joue puis se dirige vers mes lèvres, les mordillant avec précaution pour ne pas me faire mal. les battement de mon coeur se font alors plus intense. C'est fou quand même la différence de sensation, lorsque l'on baise ou lorsque l'on fait l'amour. c'est tellement meilleur avec des sentiments. Je trouve ça tout simplement irrésistible.


Tomas Kaulitz-Trümper – Je pourrais pas m’empêcher de vouloir te toucher. Alors c’est clair que je ferais sauter les menottes


J'ai un petit rire alors qu'il m'incite à me redresser pour passer sa main sous mon sweat avant de me le retirer. je frissonne j'avoue que parle de ça m'excite quand même beaucoup. je passe mes bras autours de la nuque de mon amant et lui embrasse la mâchoire avant de sucotter sa lèvre inférieur.


Tomas Kaulitz-Trümper – & tu as d’autres idées encore ? J’ai envie de tout savoir


J'ai un sourire avant de m'allonger a nouveau en gardant mes main sur son ventre. je vais ensuite mine de réfléchir en levant les yeux puis hoche négativement la tête.


Bill D. Kaulitz-Trümper – Non toi, vas-y c'est quoi ton fantasme ?

– Hum grave ça me ferais complètement perdre la tête et tu le sais parfaitement. Néanmoins je suis certain que me voir entièrement nu sans pouvoir me toucher te rendra dingue bébé. Imagine mes mains parcourir ton corps, mes lèvres sur ton ventre et tout ça...sans pouvoir ne serais ce que m'effleurer.

Boire ses paroles, c’est tout ce que je sais faire pour le moment. Imaginer tout ça me ferait bander, je pense, et je ne serais certainement pas capable de me retenir de le déshabiller pour lui faire l’amour comme un fou. Néanmoins, après l’épisode Fransisca, je tenais sérieusement à montrer à Bill que je savais me tenir & que je ne pensais pas qu’à mes couilles. Tant pis si je reste en manque pendant des mois ; cette fois, c’est lui qui me suppliera de coucher avec lui. Je ne tenterais absolument rien. Quoi qu’il en soit, je ne me retenais pas pour autant d’entrer dans notre jeu. On se cherche, on ne provoque mais si je sens que tout ceci va trop loin, alors je m’arrêterais et je pourrais toujours feinté une soudaine envie de dormir. Après tout, il est très tard.
Je souris doucement et me mordille la lèvre inférieure avant de retirer le sweat de mon jumeau. Je l’envoie sur le sol et me place correctement entre ses cuisses pendant que ses mains touchent mon ventre. Inévitablement, je baisse mon regard et souris malicieusement. Qui aurait cru que Bill se décoincerait à ce point ? Il me chauffe littéralement et je suis sûr qu’il aime ça. Moi aussi d’ailleurs. & si la situation était différente, je pense que j’aurai été sadique pour le rendre fou & le faire jouir dans son boxer sans même le pénétrer. Oh oui, je me serais vraiment amusé.

– Non toi, vas-y c'est quoi ton fantasme ?

Mon fantasme ? Difficile à dire. Je crois que j’ai réalisé beaucoup de choses depuis ma première expérience sexuelle. J’ai d’ailleurs tenté à peu près tout ce qui me faisait envie. Que lui répondre alors ? J’hausse doucement mes épaules et soupire silencieusement avant de me décaler. Mon corps retombe lourdement contre le matelas et je fixe le plafond tout en passant ma langue sur mes lèvres. Je finis par m’allonger sur le ventre et je pose ma tête entre mes bras de façon à ce que je puisse toujours regarder mon double dans les yeux.

-Toi, dis-je simplement.

Je pince mes lèvres & ris silencieusement. Bon en réalité, ce n’était pas réellement un fantasme mais je suis sûr que ça lui ferait plaisir d’entendre ça. J’hoche ensuite ma tête négativement et fais bouger mon piercing tout en me plongeant dans mes réflexions. Vu l’heure qu’il est, ce n’est pas étonnant que j’ai du mal à remettre mes idées en place. Tant pis. Ce n’est pas très important de toute façon, si ?
Je tend mon bras pour attraper la couverture et la remonte sur nos corps avant de toucher les cheveux mouillés de Bill. Le pauvre a prit la pluie en rentrant et je ne souhaite pas qu’il tombe malade.

-Tu devrais aller t’sécher un peu Bill, conseillai-je en lui adressant un clin d’œil.

Je ramène tranquillement ma main contre mon torse nu et ferme mes yeux l’espace de quelques secondes. Cette journée m’a complètement épuisé et je pense que je ne tiendrais pas encore très longtemps avant de sombrer dans un sommeil très profond. Néanmoins, j’attends une éventuelle réaction de mon frère. J’ouvre donc mes paupières et lui souris gentiment avant de me pencher vers lui pour embrasser son front.

-& après, on dort, hein ? J’suis super fatigué…

Tomas Kaulitz-Trümper – Toi...


Mon coeur fait un énorme bon dans ma poitrine alors qu'il m'avoue que son unique fantasme c'est...moi. je déglutit, bien entendu que cela me fait plaisir je dirais même plus ça fait chavirer mon coeur je suis limite aux anges. je me mord la lèvre inférieur en restant allonger sur le dos avant de tourner mon visage vers celui de mon amoureux et je lui caresse tendrement la joue. En plus Ça a pas l'air d'être juste pour me faire plaisir il le pense sans doute. Et ça, pour moi c'est le plus important. J'ai un sourire tout mignon puis l'embrasse sur le front alors qu'il passe sa main dans mes cheveux d'un noir de jet. J'aime énormément le cherche en fait j'adore ça néanmoins il est vrai que nous avons traverser une passe très compliquée et je suis certain que mon frère veux désormais me prouver qu'il ne pense pas qu'a mon petit cul. Et avec la détermination ça risque d'être moi dans quelques semaine qui fait le supplier de me prendre car c'est moi qui n'en pourrais plus ne ne plus pouvoir profiter de son corps musclé de te ses caresses.



Tom Kaulitz-Trümper – Tu devrais aller t’sécher un peu Bill


je regarde mes cheveux et en effet je m'aperçois que j'ai la nuque trempée et en plus mes mèches son glacée. oui si je ne me sèche pas je risque de prendre froid et comme mon système immunitaire est à chier (oui bah les parents ils ne se sont pas donné jusqu'au bout --') bah j'ai 99,9% de me chopper un grève d'enfer. J'hoche positivement de la tête et l'embrasse chastement avant de me lever pour aller dans la salle de bain je me regarde dans le miroir et grimace. Quelle tête affreuse ! J'ai du mascara et du liner partout j'ai les yeux bouffi et je vous parle même pas de mes cheveux ! Je fait un affreuse grimace avant de prendre des cotons pour me démaquiller. Une fois que je suis nickel je prendre le sèche cheveux pour envoyer de l'ai chaud sur ma tignasse afin de la sécher. je me brosse également les dent. et une foi que je suis enfin prêt je reviens dans notre chambre, retirant mon bas de jogging pour rester en boxer et je me glisse sous les couverture. mon amant dors déjà sur le ventre. je lui fait unléger baiser sur la joue avant d'éteidnre complétement les lumier


Bill D. Kaulitz-Trümper – Dors bien mon amour


Avais-je murmuré avant de m'allonger près de lui et de ferme les yeux. je plonge petit a petit dans le sommeil. Celui-ci fini par complétement m'envelopper et plus qu'un chose m'obesède, lui et mon amour pour lui et cela durant tous mes rêves quasiment. je vis tes truc complétement dingue dans mes rêves le seul ennui c'est que le matin je ne m'en souviens plus...