La journée avait été longue, très longue, en tout cas pour moi. Après avoir quitté Madison devant le Star Buck ce matin, je suis rentré chez moi. Jade n’était pas là et d’un côté je me suis sentit un peu soulagé de ne pas la voir tout de suite. Alors je me suis laissé tomber sur mon lit et j’ai regardé les photos de Madison et moi pendant une bonne heure. J’ai même prit le temps de créer un dossier pour toutes les photos et de les déplacer et les renommer une à une. J’avais un sourire niais en regardant chacune des photos. Madison est une fille vraiment adorable, j’ai hâte de la revoir et de passer de nouveau du temps avec elle. Mais cette fois ci j’essayerai d’apprendre à la connaître un peu plus au lui de lui lancer des morceaux de beignets au chocolat.

Ensuite j’ai passé ma journée à joué sur ma basse, travaillant sur différents morceaux, même sur ceux des anciens albums, parfois en reprenant des titres d’autres artistes et les remaniant à ma manière. En faite j’me suis bien amusé tout seul avec ma belle Sandberg… Elle est parfaite, il ne lui manque plus que la parole. Ouais parce que si un jour je croise un mec qui tape la discute à sa basse, je le prendrais pour un fou… Oui bon ok moi aussi je lui parle à ma p’tite basse d’amour, mais je ne le fais que lorsque je suis sûr et certain d’être tout seul. Si un jour Tom m’entends parler à ma Sandberg, je crois qu’il aura vraiment de quoi se venger de toutes les photos que j’ai pu prendre de lui.

Ce soir j’ai décidé de ne pas rester à la maison. J’ai envie de sortir. Avec les Kaulitz, hors de question j’vais encore devoir tenir la chandelle parce qu’ils vont faire leurs trucs de jumeaux et je les vois déjà assez le faire en tournée. Et puis je n’ai pas envie de voir leurs gueules x) Gustav peut être ? Ouais à voir… Si au premier abord il paraît renfermé, en boîte il se lâche et c’est un vrai marrant. J’ai donc téléphoné à mon batteur préféré qui accepte volontiers mon invitation en me donnant l’adresse d’une boîte qu’il avait eu d’un ami à lui qui lui avait fortement conseillé.

Voilà comment je me retrouve dans une boîte assez chaude avec Gustav. Ca ne fait même pas une heure qu’on est là et pour ne pas mentir on s’emmerde comme des rats morts. On décide alors de s’en aller, parce que franchement la boîte est vraiment nulle. On se refera une soirée plus tard je pense, parce que ça m’a coupé l’envie de sortir du coup. Gustav s’en va en premier. En passant pas loin du bar, j’entends une voix que je connais. Je tourne la tête. Merde. Dîtes moi que je rêve ! Madison assise à cheval sur les jambes d’un mec qui se gêne pas pour la tripoter et trois autres qui eux non plus se gênent pas. J’aurais pu penser que c’était son copain, mais vu la façon dont les trois garçons la touchent aussi et la regardent, ça m’étonnerais que ce soit le cas. L’un des gars demande alors s’ils peuvent aller à l’hôtel. Celui sur lequel est assise Madison lui répond que ce soir elle est à lui, qu’il la lui prêtera pas. Je sors de mes gonds et sans prévenir je m’approche et attrape Madison par le bras pour la relever. L’autre mec s’indigne que je lui pique ‘son coup de la soirée’.

« Retourne aux bacs à sable minable, c’est pas un endroit pour toi ici, ta maman serait pas contente de te voir ici. Et puis ce soir, elle est à moi, alors ferme ta petite gueule et va te coucher. »

Crachais-je, assez enervé. Je traîne Madison jusqu’à la sortie de la boîte et une fois que nous sommes dehors et que je me suis assuré que personne ne traîne autour, je me tourne vers elle.

« C’est ça que tu appelles réviser pour l’université ? Tu me déçois Madison. »

Après avoir quitter Georg devant le starbuck coffee j'ai été acheter mon héroïne. A la dealeuse qui s'occupait de ma mère avant qui qui s'occupait de moi aussi depuis ma naissance par ailleurs. Elle me donna ma dose en poudre et non en fiole. Car elle sais que dans le métier que j'ai en été c'est très gênant. L'ennui avec la poudre c'est que j'ai de la peine a trouver ma dose exacte. ce qui fait que sois je suis rapidement en manque soi je suis trop shootée. L'avantage de la dose pas seringue c'est que Jessica, ma dealeuse elle me connais et elle me fait mes doses à l'avance.

Lorsque je rentre chez moi et cela jusqu'à 21 heure je lis et j'étudie mes live de lycée. Ouaw, ça devais être vraiment... trop bien et là si j'avais pus continuer je serais à l'université pour finalisé mes études de journaliste dans le section littéraire. J'ai un léger pincement au coeur lorsque je ferme le livre d'histoire alors que mon portable me rappelle que je dois me préparer. je soupire et range le livre dans ma bibliothèque. Et je vais prendre une douche. par la suite je m'habille de manière osée je laisse mes cheveux lâcher et libre. Cela, parait-il me donne un ire bien plus sexy. je me maquille et me parfume. je prends mon sac puis je sors de chez. Moi, c'était parti pur une nuit de folie dans une des boîtes les plus chaude d'Hambourg.


A peine suis-je arrivée qu'une bande m'aborda. Ou bah, je crois que je sais avec qui je finirais ma nuit. Oh j'aime pas c'est d'un lassant les soirée comme ça. Je me rend donc dans les toilette pour me prendre quelque dose pour tenir le coup sinon je serais capable de m'endormir avant même de commencer à le chauffer --' Lorsque je reviens il on du grave fantasmer car il me prend directe sur ses genoux alors que les autre commence a me toucher d'un peu partout et le pire c'est que j'aime pas vraiment ça. C'est alors que un bras me saisi violemment en me tirant en arrière. Oups là je suis vraiment mais grave dans la merde. C'est...Georg. Il va plus vouloir me voir après ça. Je baisse la tête en attrapant mon sac avant qu'il ne me tire dehors avec brusquerie. je préfère rien dire. une fois à l'extérieur Il me regarde d'un air..mais d'un air j'avais juste l'impression d'être de la merde. je serre fortement la mâchoire a ses parole.


-Ah parce que t'aurais préférer que je te dire "oh bah se soir désolé j'ai une partie de baise." Putain Georg franchement c'est pas un truc dont je suis fière mais j'ai pas le choix tu vois y a des gens comme ça qui n'ont rien fait et qui se retrouve dès la naissance embarqué dans une vie de merde


Dis-je en sortant de mon sac son sweet que je songeai utiliser ver quatre heure du matin quand je rentrerais hez moi j'ai toujours monstre froid. Je le lui remet dans les bras


-Comme ça 'aura plus besoin de fréquenté une fille dans mon genre...

J'étais vraiment déçu par l'attitude de Madison. En tout cas ce qu'elle faisait. On dit toujours qu'il n'y a pas de sous métier, et bien je pense le contraire. Si il y a bien un métier dégradant, c'est celui de prostituée. Pour une femme, c'est vraiment répugnant, les savoir utilisées comme de simples objets, aucun respect. Ce n'est même pas un métier, c'est pire que ça, je trouve même pas les mots pour le dire. Je ne peux m'empêcher d'avoir un regard différent sur Madison maintenant. Je ne sais pas ce que je dois ressentir, si je dois être en colère, avoir de la pitié ou bien triste, ou même compréhensif. Je croise les bras en la regardant, attendant des explications, savoir pourquoi elle est là, voire même comment elle en est arrivée là.
Je pense bien qu'elle n'est pas fière de ça, que ça doit être difficile de s'en sorte, mais putain quoi ! Je soupire, passant mes mains sur mon visage en soufflant pour ne pas m'énerver et me mettre à gueuler, parce que j'en suis bien capable tient. Quand quelque chose m'énerve vraiment, je ne me maitrîse plus vraiment et je laisse ma colère prendre le dessus, quelque soit le sujet. Je souffle de nouveau, pour bien tout évacuer même si je sais que la colère remontera dans pas longtemps, c'est quelques minutes de gagnées.

« Madison, je me doute que tu n'ait pas voulu ça. Mais... Putain je sais même pas quoi te dire... Mais il va falloir que tu arrête tout ça et de suite ! »

Bon ok pour elle je ne suis personne, juste une connaissance. C’est sûrement à cause du fait que je m’attache très vite aux gens, du coup j’ai tendance à me montrer soit parfois trop attentionné soit trop protecteur avec eux. Et là, je suis plutôt protecteur avec Madison. Je sais pas pourquoi mais cette fille m’obsède. Maintenant que je connais son ‘boulot’ il est certain qu’elle va m’obséder plus que la normale. Et puis je suis bien trop respectueux des femmes pour laisser Madison comme ça. Je la vois alors sortir le sweat-shirt que je lui avais prêté ce matin. Elle me le rend en me disant que, de cette façon, je n’aurais plus à traîner avec une fille dans son genre. Je soupire, agacé. Comme si c’est ça qui allait m’empêcher de traîner avec elle. Jusqu’à présent, on était derrière un mur, dans un endroit un peu plus isolé, mais maintenant il y a des personnes qui passent et qui regardent. Ah bah oui, c’est toujours plus rigolo de regarder ce qui se passe dans la vie des autres hein. J’attrape Madison par la main, plus doucement que dans le bar tout à l’heure, et je l’entraîne vers le parking. J’attrape les clefs de ma voiture qui étaient dans la poche de mon jean et ouvre le véhicule. J’ouvre ensuite la portière avant passager et incite Madison à y monter. Une fois qu’elle cède et qu’elle s’assoit, je claque la portière et monte m’asseoir à mon tour mais côté conducteur. Pour éviter que Madison s’en aille ( on ne sait jamais avec les femmes…) je ferme la voiture à clef et remet les clefs dans la poche de mon jean avant de me tourner vers elle.

« Tu te fais de fausses idées sur moi. Quand je m’attache à une personne je la lâche pas si facilement, encore moins pour ce genre de chose. Et ne me sors pas l’argument qu’un paparazzi de merde pourrait nous voir et dire dans la presse que je me tape des prostituées alors que c’est faux, parce que même si ça arrive, c’est pas ça qui va m’arrêter tu peux me croire. Alors on va rester calme tous les deux et tu vas m’expliquer comment t’en es arrivée là, compris ? »

Je me rends ensuite compte que je tiens toujours le sweat dans les mains. Je le pose alors sur les jambes de Madison en lui faisant un petit sourire.

« Garde ça, t’en auras plus besoin que moi je pense. »